La réussite et le rayonnement international de cette manifestation sont dus particulièrement à la Haute sollicitude de SM le Roi Mohammed VI qui ne cesse d'accorder une attention particulière au Moussem depuis sa création en 1978, alors qu'il était Prince Héritier, a-t-il dit à l'ouverture, dimanche soir, de cette manifestation.
Evoquant les grands objectifs à l'origine du Moussem d'Assilah, M. Benaissa a précisé qu'il a fallu faire en sorte que la culture soit un moyen d'amorcer le développement lorsque les ressources naturelles ne sont pas disponibles en abondance, et tracer la voie pour un dialogue adéquat Nord-Sud et Sud-Sud pour constituer les structures fondamentales nécessaires.
"Le Festival d'Assilah a pu conserver son identité originale telle que présentée à sa première édition et demeurer ainsi un espace indépendant de dialogue interculturel et civilisationnel", a-t-il dit, ajoutant que ce dialogue "nécessaire" relève désormais du domaine du possible grâce aux élites intellectuelles et créatrices qui ont fréquenté Assilah ces trente dernières années.
"Il est certain qu'aucun de nous ne pouvait parier sur la pérennité du Festival culturel d'Assilah, qui nous réunit aujourd'hui" et qui est né à une époque où le monde vivait au gré des "mutations successives engendrées par la confrontation entre l'Est et l'Ouest, pendant la Guerre Froide", a-t-il ajouté, estimant que cette période a connu une large diffusion de la culture et valeurs des droits de l'Homme, de la femme et de l'enfant, du développement durable et du pluralisme culturel et ethnique, ainsi que l'apparition des groupements économiques régionaux, de la mondialisation et des changements climatiques qui constituent une source d'inquiétude pour l'ensemble des pays.
Pour consolider l'orientation du festival, a poursuivi M. Benaissa, il a été procédé à la construction du "Centre Hassan II des rencontres internationales" et d'une résidence réservée aux artistes venant prendre part aux Festivals d'Assilah, ainsi qu'à la remise en état du Palais de la Culture.
Il a également été question de rassembler de nombreuses oeuvres portant la signature d'éminents artistes de tous les coins du monde, ce qui a permis à la ville d'Assilah de disposer d'un musée d'art où sont conservées ces œuvres.
M. Benaissa a annoncé dans ce cadre que cette édition sera marquée par la signature d'une convention entre la fondation du patrimoine saoudien et la fondation du forum d'Assilah destinée à la protection du patrimoine matériel et moral, à travers l'échange des recherches, des expertises et des connaissances.
Evoquant les grands objectifs à l'origine du Moussem d'Assilah, M. Benaissa a précisé qu'il a fallu faire en sorte que la culture soit un moyen d'amorcer le développement lorsque les ressources naturelles ne sont pas disponibles en abondance, et tracer la voie pour un dialogue adéquat Nord-Sud et Sud-Sud pour constituer les structures fondamentales nécessaires.
"Le Festival d'Assilah a pu conserver son identité originale telle que présentée à sa première édition et demeurer ainsi un espace indépendant de dialogue interculturel et civilisationnel", a-t-il dit, ajoutant que ce dialogue "nécessaire" relève désormais du domaine du possible grâce aux élites intellectuelles et créatrices qui ont fréquenté Assilah ces trente dernières années.
"Il est certain qu'aucun de nous ne pouvait parier sur la pérennité du Festival culturel d'Assilah, qui nous réunit aujourd'hui" et qui est né à une époque où le monde vivait au gré des "mutations successives engendrées par la confrontation entre l'Est et l'Ouest, pendant la Guerre Froide", a-t-il ajouté, estimant que cette période a connu une large diffusion de la culture et valeurs des droits de l'Homme, de la femme et de l'enfant, du développement durable et du pluralisme culturel et ethnique, ainsi que l'apparition des groupements économiques régionaux, de la mondialisation et des changements climatiques qui constituent une source d'inquiétude pour l'ensemble des pays.
Pour consolider l'orientation du festival, a poursuivi M. Benaissa, il a été procédé à la construction du "Centre Hassan II des rencontres internationales" et d'une résidence réservée aux artistes venant prendre part aux Festivals d'Assilah, ainsi qu'à la remise en état du Palais de la Culture.
Il a également été question de rassembler de nombreuses oeuvres portant la signature d'éminents artistes de tous les coins du monde, ce qui a permis à la ville d'Assilah de disposer d'un musée d'art où sont conservées ces œuvres.
M. Benaissa a annoncé dans ce cadre que cette édition sera marquée par la signature d'une convention entre la fondation du patrimoine saoudien et la fondation du forum d'Assilah destinée à la protection du patrimoine matériel et moral, à travers l'échange des recherches, des expertises et des connaissances.