D'après Mme Danzi, "depuis fin septembre, des dizaines de personnes ont été tuées et des centaines d'autres blessées à Bangui. Plusieurs centaines d'enfants malades et de femmes enceintes n'ont pu se rendre dans une clinique ou une maternité. Des milliers de familles sont sans abris, leurs maisons ayant été incendiées et leurs moyens de subsistance détruits. La peur les accompagne jour et nuit".
"Alors qu'une action de secours rapide et efficace serait nécessaire. Le personnel du Mouvement international de la Croix Rouge et du Croissant Rouge n'est pas toujours en mesure de venir en aide aux blessés et aux personnes en détresse", a déploré Patricia Danzi.
Elle a fait savoir que le droit international humanitaire interdit toute attaque dirigée contre des civils ou des biens à caractères civils, comme les maisons, les écoles, les structures médicales, blessées ou détenues doivent être traitées avec humanité, sans discrimination et dans le respect de leur dignité. Les personnels de santé doivent être protégés, et le travail des volontaires de la Croix Rouge Centrafricaine, du personnel du CICR et des autres acteurs humanitaires doit être facilité en toutes circonstances.
"Quand le droit et les principes humanitaires ne sont pas respectés, quand l'accès aux blessés et aux malades est entravé, quand les familles ne peuvent pas enterrer leurs morts selon les rites funéraires propres à leur religion ou tradition, quand l'insécurité conduit à la suspension de certaines activités
"Alors qu'une action de secours rapide et efficace serait nécessaire. Le personnel du Mouvement international de la Croix Rouge et du Croissant Rouge n'est pas toujours en mesure de venir en aide aux blessés et aux personnes en détresse", a déploré Patricia Danzi.
Elle a fait savoir que le droit international humanitaire interdit toute attaque dirigée contre des civils ou des biens à caractères civils, comme les maisons, les écoles, les structures médicales, blessées ou détenues doivent être traitées avec humanité, sans discrimination et dans le respect de leur dignité. Les personnels de santé doivent être protégés, et le travail des volontaires de la Croix Rouge Centrafricaine, du personnel du CICR et des autres acteurs humanitaires doit être facilité en toutes circonstances.
"Quand le droit et les principes humanitaires ne sont pas respectés, quand l'accès aux blessés et aux malades est entravé, quand les familles ne peuvent pas enterrer leurs morts selon les rites funéraires propres à leur religion ou tradition, quand l'insécurité conduit à la suspension de certaines activités