Les députés ont exprimé leur préoccupation quant à la rareté sur le marché des produits tels que le ciment, le lait, la farine de blé, relevant que ces produits, même s’ils existent, sont de très mauvaise qualité.
Pour la représentation nationale, la vie de la population centrafricaine est menacée car le Centrafricain vit en dessous du seuil de pauvreté, avec un salaire maigre qui n’est même pas régulièrement payé et la flambée des prix vient aggraver la pauvreté du peuple centrafricain.
Craignant une manifestation contre la vie chère, comme dans certains pays africains, ils ont demandé au ministre du Commerce de prendre des mesures d’urgence pour sauver cette situation.
Ils ont notamment suggéré la suppression de la Tva sur les produits de première nécessité pour faciliter la vie à la population tout en dénonçant « l’augmentation délibérée et intentionnelle » de certains commerçants et en demandant la mise en place d’une structure de contrôle.
En réponse à l'interpellation des députés, Mme Epaye a indiqué que la flambée des prix est due à l’augmentation du prix du pétrole sur le marché mondial, tandis que la pénurie des produits de première nécessité s'explique par la faible production du blé, la hausse des coûts de transport ainsi que le refus du Cameroun et de la république Démocratique du Congo d’exporter leur ciment vers la République Centrafricaine.
« Nous voyons l’ampleur de la crise, c’est pourquoi nous avons pris des mesures pour soulager le peuple centrafricain », a-t-elle souligné, faisant allusion à un comité d’homologation des prix que son ministère a mis en place ainsi que d’autres mesures.
Elle a également annoncé la reprise de l’importation du ciment camerounais et congolais et indiqué par ailleurs que la direction générale de Ciment Cameroun va bientôt installer une filiale en Centrafrique pour stabiliser le prix.
Pour la représentation nationale, la vie de la population centrafricaine est menacée car le Centrafricain vit en dessous du seuil de pauvreté, avec un salaire maigre qui n’est même pas régulièrement payé et la flambée des prix vient aggraver la pauvreté du peuple centrafricain.
Craignant une manifestation contre la vie chère, comme dans certains pays africains, ils ont demandé au ministre du Commerce de prendre des mesures d’urgence pour sauver cette situation.
Ils ont notamment suggéré la suppression de la Tva sur les produits de première nécessité pour faciliter la vie à la population tout en dénonçant « l’augmentation délibérée et intentionnelle » de certains commerçants et en demandant la mise en place d’une structure de contrôle.
En réponse à l'interpellation des députés, Mme Epaye a indiqué que la flambée des prix est due à l’augmentation du prix du pétrole sur le marché mondial, tandis que la pénurie des produits de première nécessité s'explique par la faible production du blé, la hausse des coûts de transport ainsi que le refus du Cameroun et de la république Démocratique du Congo d’exporter leur ciment vers la République Centrafricaine.
« Nous voyons l’ampleur de la crise, c’est pourquoi nous avons pris des mesures pour soulager le peuple centrafricain », a-t-elle souligné, faisant allusion à un comité d’homologation des prix que son ministère a mis en place ainsi que d’autres mesures.
Elle a également annoncé la reprise de l’importation du ciment camerounais et congolais et indiqué par ailleurs que la direction générale de Ciment Cameroun va bientôt installer une filiale en Centrafrique pour stabiliser le prix.