La rencontre entre le chef de l’Etat de la Transition et les opérateurs humanitaires avait pour objectif de procéder à un échange d’idées en vue déterminer ensemble les mesures appropriées qui permettront de contrer les difficultés auxquels les humanitaires sont régulièrement confrontés et d’améliorer leur efficacité sur le terrain et de condamner officiellement les agressions dont sont victimes les humanitaires.
Il faut rappeler que le 26 avril dernier, au centre de santé de Boguila dans la préfecture de l’Ouham tenu par l’organisation médicale internationale Médecins Sans Frontières (MSF) Hollande, un groupe d’hommes armés a fait irruption et a ouvert le feu sur des patients ainsi que leurs parents. 16 civils avaient été tués. Parmi ceux-ci figuraient trois membres du personnel local de MSF.
En riposte à cet acte odieux, MSF a drastiquement réduit ses acticités à compter du 5 mai dernier et demandé de la part des autorités de la Transition ainsi que des leaders des groupes armés des condamnations énergiques contre les attaques perpétrés sur des civils ou des humanitaires.
C’est avec beaucoup d’amertume que j’ai été informée des attaques criminelles et répétées des acteurs humanitaires œuvrant dans notre pays. Et je suis en colère contre ces agissements crapuleux », a clamé Mme Samba Panza. C’est pourquoi, elle a fait savoir qu’elle a instruit les autorités compétentes de diligenter une enquête afin de faire toute la lumière sur ce tragique évènement, identifier leurs auteurs qui seront traduits devant la Justice pour répondre de leurs actes.
Le Chef de l’Etat de la Transition a exprimé tout son soutien aux ONG suivantes, qui ont régulièrement fait l’objet des attaques. Il s’agit de Médecins Sans Frontières, Save The Children et le HCR.
En guise de recommandation forte, Mme Catherine Samba Panza a émis l’idée d’une plateforme d’échanges permanente entre les autorités de la Transition et toutes les organisations humanitaires afin d’une part d’assurer une fluidité des informations sur l’action de ces organisations réunies au sein d’OCHA et d’autres part définir un meilleur accompagnement des ONG par les autorités compétentes du pays.
Avant de terminer ses propos, le Chef de l’Etat de la Transition a adressé toute sa compassion aux familles éplorées, à l’ONG Médecins Sans Frontières (MSF) et à travers celle-ci les humanitaires en général, « qui ne ménagent aucun effort pour soulager la souffrance de nos population, de réitérer également la ferme condamnation du gouvernement et de moi-même des actes barbares en tout genres qui sont perpétrés à l’endroit de nos partenaires humanitaires ».
Elle a également solennellement condamné l’enlèvement de 200 jeunes filles par Boko Haram au Nigeria et, d’après elle, en sa double qualité de mère d’abord et de Présidente ensuite, elle a demandé aux ravisseurs « rendez nous nos filles ».
Il faut rappeler que le 26 avril dernier, au centre de santé de Boguila dans la préfecture de l’Ouham tenu par l’organisation médicale internationale Médecins Sans Frontières (MSF) Hollande, un groupe d’hommes armés a fait irruption et a ouvert le feu sur des patients ainsi que leurs parents. 16 civils avaient été tués. Parmi ceux-ci figuraient trois membres du personnel local de MSF.
En riposte à cet acte odieux, MSF a drastiquement réduit ses acticités à compter du 5 mai dernier et demandé de la part des autorités de la Transition ainsi que des leaders des groupes armés des condamnations énergiques contre les attaques perpétrés sur des civils ou des humanitaires.
C’est avec beaucoup d’amertume que j’ai été informée des attaques criminelles et répétées des acteurs humanitaires œuvrant dans notre pays. Et je suis en colère contre ces agissements crapuleux », a clamé Mme Samba Panza. C’est pourquoi, elle a fait savoir qu’elle a instruit les autorités compétentes de diligenter une enquête afin de faire toute la lumière sur ce tragique évènement, identifier leurs auteurs qui seront traduits devant la Justice pour répondre de leurs actes.
Le Chef de l’Etat de la Transition a exprimé tout son soutien aux ONG suivantes, qui ont régulièrement fait l’objet des attaques. Il s’agit de Médecins Sans Frontières, Save The Children et le HCR.
En guise de recommandation forte, Mme Catherine Samba Panza a émis l’idée d’une plateforme d’échanges permanente entre les autorités de la Transition et toutes les organisations humanitaires afin d’une part d’assurer une fluidité des informations sur l’action de ces organisations réunies au sein d’OCHA et d’autres part définir un meilleur accompagnement des ONG par les autorités compétentes du pays.
Avant de terminer ses propos, le Chef de l’Etat de la Transition a adressé toute sa compassion aux familles éplorées, à l’ONG Médecins Sans Frontières (MSF) et à travers celle-ci les humanitaires en général, « qui ne ménagent aucun effort pour soulager la souffrance de nos population, de réitérer également la ferme condamnation du gouvernement et de moi-même des actes barbares en tout genres qui sont perpétrés à l’endroit de nos partenaires humanitaires ».
Elle a également solennellement condamné l’enlèvement de 200 jeunes filles par Boko Haram au Nigeria et, d’après elle, en sa double qualité de mère d’abord et de Présidente ensuite, elle a demandé aux ravisseurs « rendez nous nos filles ».