Le but de cette consultation est de renforcer le plaidoyer et la mobilisation sociale autour des stratégies de lutte contre la mortalité maternelle et infantile en République Centrafricaine.
Mme Brigitte Touadéra a expliqué que le décès d’une femme porteuse de vie constitue une perte inestimable pour sa famille et pour la société.
Elle a souligné que la problématique des avortements mérite aussi une attention particulière en tant que priorité en matière de santé publique.
Elle a fait savoir que c’est dans cet optique le présent dialogue est initié avec toutes les forces vives de la nation pour approfondir la réflexion et apporter des solutions idoines et durables.
« Les statistiques de l’OMS montrent que la situation est particulièrement alarmante en République Centrafricaine avec un taux de mortalité maternelle des plus élevés au monde », a-t-elle poursuivi.
La présidente de la Fondation « Cri de coeur d’une mère » a invité tous les acteurs concernés à prendre une part active à cette consultation nationale sur la question des grossesses non désirées et de l’avortement, y compris la prévention des complications liées aux avortements non médicalisés.
Elle a ajouté que sa Fondation, très préoccupée par les questions des complications liées aux avortements a souhaité intégrer ce processus en vue d’apporter sa pierre à l’édifice.
Le ministre de la Santé et de la Population, Pierre Somsé, a indiqué pour sa part que l’amélioration de la santé de la population, dont celle de la mère et de l’enfant, est une priorité du gouvernement qui fait de la réduction accélérée de la mortalité maternelle de la mère et de la fille le premier jalon de sa politique sociale privilégiant le développement du capital humain.
Selon lui, il est opportun d’indiquer à cet égard qu’un processus de programmation est engagé depuis quelques mois en vue de développer un dossier d’investissement dans le secteur de la santé axé sur la réduction de la mortalité maternelle.
Il a remercié tous les partenaires techniques et financiers, notamment l’OMS, l’UNFPA et particulièrement les groupes MSF qui interviennent sur le terrain, avec des statistiques à l’appui sur l’ampleur des conséquences des complications liées aux avortements non médicalisés pour leur appui à la tenue dudit atelier.
Le membre du gouvernement a reconnu que c'est un grand jour qui marque l’histoire de la santé dans notre pays en ce sens que la problématique des avortements doit être traité comme une urgence de la santé publique compte tenu de l’impact de ces complications et des conséquences profondes sur le développement du capital humain.
Il convient de rappeler que le protocole de Maputo, dont la République centrafricaine est signataire, doit être au centre des préoccupations des participants du fait que le cadre légal très restrictif ouvre le plus souvent la voie à l’avortement clandestin.
Mme Brigitte Touadéra a expliqué que le décès d’une femme porteuse de vie constitue une perte inestimable pour sa famille et pour la société.
Elle a souligné que la problématique des avortements mérite aussi une attention particulière en tant que priorité en matière de santé publique.
Elle a fait savoir que c’est dans cet optique le présent dialogue est initié avec toutes les forces vives de la nation pour approfondir la réflexion et apporter des solutions idoines et durables.
« Les statistiques de l’OMS montrent que la situation est particulièrement alarmante en République Centrafricaine avec un taux de mortalité maternelle des plus élevés au monde », a-t-elle poursuivi.
La présidente de la Fondation « Cri de coeur d’une mère » a invité tous les acteurs concernés à prendre une part active à cette consultation nationale sur la question des grossesses non désirées et de l’avortement, y compris la prévention des complications liées aux avortements non médicalisés.
Elle a ajouté que sa Fondation, très préoccupée par les questions des complications liées aux avortements a souhaité intégrer ce processus en vue d’apporter sa pierre à l’édifice.
Le ministre de la Santé et de la Population, Pierre Somsé, a indiqué pour sa part que l’amélioration de la santé de la population, dont celle de la mère et de l’enfant, est une priorité du gouvernement qui fait de la réduction accélérée de la mortalité maternelle de la mère et de la fille le premier jalon de sa politique sociale privilégiant le développement du capital humain.
Selon lui, il est opportun d’indiquer à cet égard qu’un processus de programmation est engagé depuis quelques mois en vue de développer un dossier d’investissement dans le secteur de la santé axé sur la réduction de la mortalité maternelle.
Il a remercié tous les partenaires techniques et financiers, notamment l’OMS, l’UNFPA et particulièrement les groupes MSF qui interviennent sur le terrain, avec des statistiques à l’appui sur l’ampleur des conséquences des complications liées aux avortements non médicalisés pour leur appui à la tenue dudit atelier.
Le membre du gouvernement a reconnu que c'est un grand jour qui marque l’histoire de la santé dans notre pays en ce sens que la problématique des avortements doit être traité comme une urgence de la santé publique compte tenu de l’impact de ces complications et des conséquences profondes sur le développement du capital humain.
Il convient de rappeler que le protocole de Maputo, dont la République centrafricaine est signataire, doit être au centre des préoccupations des participants du fait que le cadre légal très restrictif ouvre le plus souvent la voie à l’avortement clandestin.