Martin Ziguélé, président du Mlpc, lors d'un point de presse à Bangui le 26 août 2006 (Ph. Yaka Maïde, Acap)
L’ancien candidat au second tour de l’élection présidentielle de mai 2005 (35% des voix devant François Bozizé) porté à la présidence du Mouvement de libération du peuple centrafricain (Mlpc, ancien parti au pouvoir) en juin dernier, a déclaré solennellement que « le Mlpc condamne avec la dernière énergie les actes de violence d’où qu’ils viennent, et condamne très fermement toute tentative de prise de pouvoir par les armes, ainsi que toutes formes de violence en politique ».
Entouré de plusieurs dirigeants du Mlpc, l’ancien Premier ministre, s’est livré à une attaque en règle contre le pouvoir en place, caractérisé, selon lui, par la mauvaise gouvernance et englué dans la corruption.
« Parler de l’économie de ce pays est une gageure », a encore déclaré Martin Ziguélé, qui a déploré le taux très élevé de chômage dû au manque d’initiative du gouvernement à créer d’emplois.
Le président du Mlpc a également relevé ce qu’il appelle « la dégradation de la situation générale des Droits de l’homme ». Il a fait remarquer que depuis un certain temps, le pouvoir en place procède à des « exactions et violations des droits à la vie, des exécutions sommaires et arbitraires, des tortures et traitements inhumains ».
Pour en finir, Martin Ziguélé a déclaré que le Mlpc, comme la concertation des Partis Politiques de l’opposition, appelle à un dialogue politique qui, selon lui, permettra de trouver des solutions politiques aux problèmes du pays.
Premier ministre sous le régime de l’ex président Ange Félix Patassé de 2001 à 2003, Martin Ziguélé avait représenté le Mlpc à l’élection présidentielle de mars et mai 2005.
Revenu à Bangui le 19 août dernier après une année d’absence, Martin Ziguélé a été reçu tour à tour par le Premier ministre centrafricain Elie Doté et le président de la République François Bozizé.
Entouré de plusieurs dirigeants du Mlpc, l’ancien Premier ministre, s’est livré à une attaque en règle contre le pouvoir en place, caractérisé, selon lui, par la mauvaise gouvernance et englué dans la corruption.
« Parler de l’économie de ce pays est une gageure », a encore déclaré Martin Ziguélé, qui a déploré le taux très élevé de chômage dû au manque d’initiative du gouvernement à créer d’emplois.
Le président du Mlpc a également relevé ce qu’il appelle « la dégradation de la situation générale des Droits de l’homme ». Il a fait remarquer que depuis un certain temps, le pouvoir en place procède à des « exactions et violations des droits à la vie, des exécutions sommaires et arbitraires, des tortures et traitements inhumains ».
Pour en finir, Martin Ziguélé a déclaré que le Mlpc, comme la concertation des Partis Politiques de l’opposition, appelle à un dialogue politique qui, selon lui, permettra de trouver des solutions politiques aux problèmes du pays.
Premier ministre sous le régime de l’ex président Ange Félix Patassé de 2001 à 2003, Martin Ziguélé avait représenté le Mlpc à l’élection présidentielle de mars et mai 2005.
Revenu à Bangui le 19 août dernier après une année d’absence, Martin Ziguélé a été reçu tour à tour par le Premier ministre centrafricain Elie Doté et le président de la République François Bozizé.