Cette campagne dont le slogan est « disons tous non, non et non aux mariages des enfants » vise l’amélioration de l’environnement législatif et règlementaire à la réduction sinon à l’élimination des pratiques néfastes à l’endroit des enfants par la ratification des instruments juridiques internationaux et l’élaboration des lois nationales appropriées.
Quant à la Ministre de la Famille, des Affaires sociales, de la Promotion du genre et de l’Action humanitaire, Eugénie Yarafa, elle s’est étonnée de ce que « le mariage des enfants, plus particulièrement des filles, 3 ou 4 sur 10 à travers le monde, s’est insidieusement infiltré dans les communautés et continue de gagner du terrain, surtout avec les crises à répétition », en ce qui concerne la République Centrafricaine.
Aux crises à répétition, Eugénie Yarafa, a ajoutée comme causes du mariage précoce des enfants « les pesanteurs socioculturels ».
Intervenant à son tour, la Présidente de la Délégation spéciale de la ville de Bimbo, Jeannette Téya, a regretté les effets des crises politico-militaires sur les enfants, incitant les filles à la débauche et brisant ainsi leur devenir ».
Le Représentant résident du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), Mohammed Malick Fall, s’est plutôt interrogé sur le mécanisme « pouvant aider les filles à prendre des décisions éclairées en matière de mariage et de maternité au lieu d’être traités comme des marchandises destinées au mariage, au viol, à la maltraitance ou à la vente ».
C’est pourquoi, il a jugé nécessaire d’accélérer l’abandon des violences faites aux femmes et aux filles pour défendre les cas intolérables de violation des droits fondamentaux et d’atteintes à l’intégrité et à l’honneur des victimes ».
Il est à noter que la République Centrafricaine a élaboré de nombreux textes nationaux et ratifié un grand nombre d’instrument juridiques internationaux assurant la protection des enfants, des filles et des femmes, notamment la Convention sur l’élimination de toutes les formes de violence à l’égard des femmes, la Loi portant Code de la Famille, la Loi portant Protection des filles et des femmes contre les violences, la Loi sur la santé de la reproduction. Seulement, la mise en application de ces textes font défaut en République Centrafricaine.
Quant à la Ministre de la Famille, des Affaires sociales, de la Promotion du genre et de l’Action humanitaire, Eugénie Yarafa, elle s’est étonnée de ce que « le mariage des enfants, plus particulièrement des filles, 3 ou 4 sur 10 à travers le monde, s’est insidieusement infiltré dans les communautés et continue de gagner du terrain, surtout avec les crises à répétition », en ce qui concerne la République Centrafricaine.
Aux crises à répétition, Eugénie Yarafa, a ajoutée comme causes du mariage précoce des enfants « les pesanteurs socioculturels ».
Intervenant à son tour, la Présidente de la Délégation spéciale de la ville de Bimbo, Jeannette Téya, a regretté les effets des crises politico-militaires sur les enfants, incitant les filles à la débauche et brisant ainsi leur devenir ».
Le Représentant résident du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), Mohammed Malick Fall, s’est plutôt interrogé sur le mécanisme « pouvant aider les filles à prendre des décisions éclairées en matière de mariage et de maternité au lieu d’être traités comme des marchandises destinées au mariage, au viol, à la maltraitance ou à la vente ».
C’est pourquoi, il a jugé nécessaire d’accélérer l’abandon des violences faites aux femmes et aux filles pour défendre les cas intolérables de violation des droits fondamentaux et d’atteintes à l’intégrité et à l’honneur des victimes ».
Il est à noter que la République Centrafricaine a élaboré de nombreux textes nationaux et ratifié un grand nombre d’instrument juridiques internationaux assurant la protection des enfants, des filles et des femmes, notamment la Convention sur l’élimination de toutes les formes de violence à l’égard des femmes, la Loi portant Code de la Famille, la Loi portant Protection des filles et des femmes contre les violences, la Loi sur la santé de la reproduction. Seulement, la mise en application de ces textes font défaut en République Centrafricaine.