Les rencontres entre les leaders des ex-Séléka et des anti-balaka visent à amener les deux parties à s’accorder en vue de faire définitivement la paix en République Centrafricaine.
M. Kouyaté Béni-Diego a fait savoir que « quelques intervenants ont coulé des larmes pour le mal commis au peuple. Ils se sont par ailleurs retrouvés avec un ‘frère’ avec qui ils ont grandi ensemble et qui, aujourd’hui, se retrouve dans un camp opposé et qu’ils se sont faits du mal mutuellement ».
Du fait que, d’après certaines assertions, le linge sale se lave en famille et que la République Centrafricaine a été au centre des débats, M. Kouyaté a estimé que très prochainement, « les protagonistes ex-Séléka et anti-balaka vont s’accorder pour rendre public un communiqué conjoint voire une déclaration conjointe ».
Aussi, un comité mixte de réflexion sur l’élaboration d’un plan d’urgence de sortie de crise, composé de douze membres, six de chaque côté, ainsi que le médiateur local et les trois assistants de l’ONG, est à pied d’œuvre, a rassuré le Vice-coordonnateur de l’ONG PARETO, en dépit d’une ambiance de travail parfois tendu.
Au-delà de tout, « les différents points débattus par les deux parties, sous la diligence de l’ONG PARETO, ont porté sur la reconnaissance mutuelle et la responsabilité de chacun dans cette crise. Raison pour laquelle, les frères centrafricains devraient se regarder dans les yeux, se demander pardon et se préparer pour demander pardon au peuple centrafricain, au continent africain et à l’humanité toute entière », a clamé M. Kouyaté.
Par ailleurs, M. Kouyaté a annoncé l’organisation prochaine d’une campagne de sensibilisation pour la paix et la réconciliation qui sera menée par les deux entités, sous la diligence de l’ONG PARETO.
Les rencontres entre les ex-Séléka et les anti-balaka qui ont démarré le 14 mai vont se poursuivre. Elles se sont concrétisées, le 16 juin 2014, par la reconnaissance et l’engagement de médiation en choisissant M. Kouyaté Béni-Diego comme médiateur local.
M. Kouyaté Béni-Diego a fait savoir que « quelques intervenants ont coulé des larmes pour le mal commis au peuple. Ils se sont par ailleurs retrouvés avec un ‘frère’ avec qui ils ont grandi ensemble et qui, aujourd’hui, se retrouve dans un camp opposé et qu’ils se sont faits du mal mutuellement ».
Du fait que, d’après certaines assertions, le linge sale se lave en famille et que la République Centrafricaine a été au centre des débats, M. Kouyaté a estimé que très prochainement, « les protagonistes ex-Séléka et anti-balaka vont s’accorder pour rendre public un communiqué conjoint voire une déclaration conjointe ».
Aussi, un comité mixte de réflexion sur l’élaboration d’un plan d’urgence de sortie de crise, composé de douze membres, six de chaque côté, ainsi que le médiateur local et les trois assistants de l’ONG, est à pied d’œuvre, a rassuré le Vice-coordonnateur de l’ONG PARETO, en dépit d’une ambiance de travail parfois tendu.
Au-delà de tout, « les différents points débattus par les deux parties, sous la diligence de l’ONG PARETO, ont porté sur la reconnaissance mutuelle et la responsabilité de chacun dans cette crise. Raison pour laquelle, les frères centrafricains devraient se regarder dans les yeux, se demander pardon et se préparer pour demander pardon au peuple centrafricain, au continent africain et à l’humanité toute entière », a clamé M. Kouyaté.
Par ailleurs, M. Kouyaté a annoncé l’organisation prochaine d’une campagne de sensibilisation pour la paix et la réconciliation qui sera menée par les deux entités, sous la diligence de l’ONG PARETO.
Les rencontres entre les ex-Séléka et les anti-balaka qui ont démarré le 14 mai vont se poursuivre. Elles se sont concrétisées, le 16 juin 2014, par la reconnaissance et l’engagement de médiation en choisissant M. Kouyaté Béni-Diego comme médiateur local.