"De même, nous avons répondu à certaines observations et questions à son sujet", a souligné M. Fassi Fihri, dans une déclaration à la presse à l'issue de ces pourparlers.
Le ministre a indiqué "qu'à l'instar des rounds précédents, tenus à Manhasset, la délégation marocaine à réitéré sa position politique, juridique et opérationnelle vis-à-vis de la proposition du Polisario et redémontré qu'elle n'apportait absolument rien de nouveau quant aux possibilités et mécanismes pour aboutir à une solution définitive, car elle reprend à cet égard des plans initiaux dont l'inapplicabilité a été démontrée".
"Le Maroc est disposé à poursuivre cet exercice sur la base des indications clairement définies dans les résolutions du Conseil de sécurité, en particulier celles qui précisent la prééminence de l'initiative marocaine d'autonomie et appellent à une négociation substantielle qui tienne compte des efforts sérieux et crédibles développés par le Maroc depuis 2006 sur la base du réalisme et de l'esprit de compromis", a ajouté M. Fassi Fihri.
Cette deuxième réunion informelle intervient à la suite des quatre rounds du premier cycle de négociations, tenus à Manhasset en 2007 et 2008, sous les auspices de l'ancien Envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU, M. Peter Van Walsum.
Ces résolutions appellent l'ensemble des parties à s'engager dans des négociations intenses et substantielles, en tenant compte des efforts déployés par le Royaume depuis 2006, et en faisant montre de réalisme et d'esprit de compromis, pour parvenir à une solution politique et définitive au différend régional relatif au Sahara marocain.
Dans ce contexte, la délégation marocaine à la réunion de New York a marqué sa disponibilité à négocier une solution réaliste et réalisable sur la base de l'Initiative marocaine d'autonomie, dont la prééminence a été clairement soulignée par le Conseil de sécurité.
Elle a ainsi insisté sur la pertinence de cette initiative, rappelé la démarche démocratique ayant présidé à son élaboration, exposé son contenu substantiel, démontré sa conformité avec la légalité internationale et analysé sa portée régionale.
Le Maroc a relevé, comme lors des autres réunions, le référentiel obsolète de la soi-disant proposition des autres parties, son contenu dépassé, sa lecture biaisée et orientée du principe de l'autodétermination et sa philosophie contraire à l'orientation donnée par le Conseil de sécurité et souhaitée par la Communauté internationale pour la résolution de ce différend régional.
Tout en mettant l'accent sur l'inapplicabilité d'un référendum à options extrêmes, la délégation marocaine a démontré que le recours au référendum est minoritaire dans la pratique onusienne, la majorité des situations ayant été résolues à travers les négociations entre les parties.
Le ministre a indiqué "qu'à l'instar des rounds précédents, tenus à Manhasset, la délégation marocaine à réitéré sa position politique, juridique et opérationnelle vis-à-vis de la proposition du Polisario et redémontré qu'elle n'apportait absolument rien de nouveau quant aux possibilités et mécanismes pour aboutir à une solution définitive, car elle reprend à cet égard des plans initiaux dont l'inapplicabilité a été démontrée".
"Le Maroc est disposé à poursuivre cet exercice sur la base des indications clairement définies dans les résolutions du Conseil de sécurité, en particulier celles qui précisent la prééminence de l'initiative marocaine d'autonomie et appellent à une négociation substantielle qui tienne compte des efforts sérieux et crédibles développés par le Maroc depuis 2006 sur la base du réalisme et de l'esprit de compromis", a ajouté M. Fassi Fihri.
Cette deuxième réunion informelle intervient à la suite des quatre rounds du premier cycle de négociations, tenus à Manhasset en 2007 et 2008, sous les auspices de l'ancien Envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU, M. Peter Van Walsum.
Ces résolutions appellent l'ensemble des parties à s'engager dans des négociations intenses et substantielles, en tenant compte des efforts déployés par le Royaume depuis 2006, et en faisant montre de réalisme et d'esprit de compromis, pour parvenir à une solution politique et définitive au différend régional relatif au Sahara marocain.
Dans ce contexte, la délégation marocaine à la réunion de New York a marqué sa disponibilité à négocier une solution réaliste et réalisable sur la base de l'Initiative marocaine d'autonomie, dont la prééminence a été clairement soulignée par le Conseil de sécurité.
Elle a ainsi insisté sur la pertinence de cette initiative, rappelé la démarche démocratique ayant présidé à son élaboration, exposé son contenu substantiel, démontré sa conformité avec la légalité internationale et analysé sa portée régionale.
Le Maroc a relevé, comme lors des autres réunions, le référentiel obsolète de la soi-disant proposition des autres parties, son contenu dépassé, sa lecture biaisée et orientée du principe de l'autodétermination et sa philosophie contraire à l'orientation donnée par le Conseil de sécurité et souhaitée par la Communauté internationale pour la résolution de ce différend régional.
Tout en mettant l'accent sur l'inapplicabilité d'un référendum à options extrêmes, la délégation marocaine a démontré que le recours au référendum est minoritaire dans la pratique onusienne, la majorité des situations ayant été résolues à travers les négociations entre les parties.