Le ministre de la Communication qui est également Coordonnateur du Comité d'organisation du dialogue politique inclusif avait donné cette conférence de presse pour donner des précisions sur la tenue de ces assises dont la loi d'amnitie générale votée le 29 septembre dernier par les députés constitue l'élement essentiel.
« La tenue des assises du dialogue politique inclusif ne serait pas en 2009, ni au mois de décembre 2008 prochain », a déclaré le ministre Cyriaque Gonda, avant de déclaré que « en tant compatriote, on ne peut pas acculer son peuple ».
Il a par ailleurs indiqué que trois thèmes devront faire l’objet d'échanges au cours du dialogue politique inclusif, à savoir politique et gouvernance, sécurité nationale et l'économie.
A sujet du délai de cantonnement des groupes armés, M. Cyriaque Gonda a estimé pour sa part que le cantonnement pourrait se faire au bout de deux semaines, "étant donné que les combattants sont les autochtones du village", en vue d'acclérer le processus du dialogue politique inclusif.
« Soyons sérieux, ne prenons pas notre peuple en otage, je pense que Démafouth reviendra à la raison », a renchéri le ministre de la Communication s'agissant de la question sur Jean Jacques Démafouth, président de l'Armée populaire pour la restauration de la démocratie (Aprd) qui s'est opposé au délai de cantonnement de deux mois, dans la loi d'amnistie générale.
Abordant la question de la Force Unie de Résistance pour la Centrafrique (Furca), une autre rébellion qui aurait vu le jour dans Nord-est du pays, M. Cyriaque Gonda a répondu que « jusqu’à preuve de contraire, la Furca est encore de la fiction ».
Il sconvient de préciser que le ministre Cyriaque Gonda, a animé cette conférence de presse pour situer la population sur la relance du processus du dialogue politique inclusif, après le vote par le parlement, de la loi d’amnistie générale.
« La tenue des assises du dialogue politique inclusif ne serait pas en 2009, ni au mois de décembre 2008 prochain », a déclaré le ministre Cyriaque Gonda, avant de déclaré que « en tant compatriote, on ne peut pas acculer son peuple ».
Il a par ailleurs indiqué que trois thèmes devront faire l’objet d'échanges au cours du dialogue politique inclusif, à savoir politique et gouvernance, sécurité nationale et l'économie.
A sujet du délai de cantonnement des groupes armés, M. Cyriaque Gonda a estimé pour sa part que le cantonnement pourrait se faire au bout de deux semaines, "étant donné que les combattants sont les autochtones du village", en vue d'acclérer le processus du dialogue politique inclusif.
« Soyons sérieux, ne prenons pas notre peuple en otage, je pense que Démafouth reviendra à la raison », a renchéri le ministre de la Communication s'agissant de la question sur Jean Jacques Démafouth, président de l'Armée populaire pour la restauration de la démocratie (Aprd) qui s'est opposé au délai de cantonnement de deux mois, dans la loi d'amnistie générale.
Abordant la question de la Force Unie de Résistance pour la Centrafrique (Furca), une autre rébellion qui aurait vu le jour dans Nord-est du pays, M. Cyriaque Gonda a répondu que « jusqu’à preuve de contraire, la Furca est encore de la fiction ».
Il sconvient de préciser que le ministre Cyriaque Gonda, a animé cette conférence de presse pour situer la population sur la relance du processus du dialogue politique inclusif, après le vote par le parlement, de la loi d’amnistie générale.