L’objectif de cette conférence de presse est de passer par les médias pour sensibiliser l’opinion quant aux bénéfices de l’intervention des humanitaires auprès des personnes démunies.
« Plus de 2 millions de Centrafricains restent dans un besoin urgent d’assistance humanitaire trois ans après le déclenchement de la violence dans le pays », a déclaré M. Agbénouci. Seulement, en plus du contexte sécuritaire non reluisant, dans lequel les humanitaires apportent leur assistance aux populations qui en ont besoin, le Coordonnateur humanitaire a également fait allusion aux contraintes financières, lesquelles contraintes sont de nature à compromettre l’intervention humanitaire.
Pour étayer cette allégation, M. Agbénouci a estimé que « le plan de réponse stratégique de 2015 reste considérablement sous-financé, avec seulement moins de 49% des financements globaux ».
Devant cette insuffisance, M. Aurélien Agbénouci a lancé un appel pressant aux donateurs internationaux pour qu’ils continuent à s’intéresser aux souffrances des personnes démunies de la République Centrafricaine pour une assistance aussi efficace.
S’adressant aux hommes politiques, M. Agbénouci leur a conseillé de s’abstenir de tout acte et de tout propos qui pourraient mettre en péril la vie des citoyens innocents.
Il a enfin incité les organisations humanitaires qui ont renoncé à toute intervention en République Centrafricaine, à la suite des derniers évènements violents, à revenir sur leur décision afin d’aider les personnes démunies.
Il convient de noter que la dernière crise en République Centrafricaine ces derniers mois-ci a provoqué une augmentation des besoins humanitaires.
« Plus de 2 millions de Centrafricains restent dans un besoin urgent d’assistance humanitaire trois ans après le déclenchement de la violence dans le pays », a déclaré M. Agbénouci. Seulement, en plus du contexte sécuritaire non reluisant, dans lequel les humanitaires apportent leur assistance aux populations qui en ont besoin, le Coordonnateur humanitaire a également fait allusion aux contraintes financières, lesquelles contraintes sont de nature à compromettre l’intervention humanitaire.
Pour étayer cette allégation, M. Agbénouci a estimé que « le plan de réponse stratégique de 2015 reste considérablement sous-financé, avec seulement moins de 49% des financements globaux ».
Devant cette insuffisance, M. Aurélien Agbénouci a lancé un appel pressant aux donateurs internationaux pour qu’ils continuent à s’intéresser aux souffrances des personnes démunies de la République Centrafricaine pour une assistance aussi efficace.
S’adressant aux hommes politiques, M. Agbénouci leur a conseillé de s’abstenir de tout acte et de tout propos qui pourraient mettre en péril la vie des citoyens innocents.
Il a enfin incité les organisations humanitaires qui ont renoncé à toute intervention en République Centrafricaine, à la suite des derniers évènements violents, à revenir sur leur décision afin d’aider les personnes démunies.
Il convient de noter que la dernière crise en République Centrafricaine ces derniers mois-ci a provoqué une augmentation des besoins humanitaires.