L’objectif visé à travers cette problématique présentée par Me. Serge Alain Bazoli, assisté de M. Joseph Bindoumi, consiste à définir les enjeux politiques et juridiques pendant la période de la maladie à coronavirus.
Pour Me. Serge Alain Bazoli, la réaction institutionnelle du pouvoir public centrafricain n’a pas tenu compte des effets juridiques dans le cadre de la gestion de cette pandémie car tout porte à croire que les autorités du pays n'avaient pas réuni toutes les compétences nécessaires avant la prise des mesures édictées.
Me. Serge Alain Bazoli a relevé que la réaction du pouvoir public centrafricain face à cette pandémie a présenté beaucoup d’incohérence par rapport aux autres pays frontaliers qui ont pris des mesures fortes.
« La réaction étatique dans la gestion de cette pandémie en Centrafrique n’a pas été une réaction formelle », a déclaré Serge Alain Bazoli, car selon lui, aucune décision hautement juridique et contraignante n’a été prise.
Il poursuit en indiquant que le standard sanitaire universel de l’OMS en matière de la santé publique pour assister les citoyens n’est pas observé en République Centrafricaine, comparativement aux autres pays. Les mesures prises en Centrafrique ne sont pas totalement appliquées pour contenir la pandémie à coronavirus.
Quant à Monsieur Joseph Bindoumi, le monde entier s’est confronté à un véritable défi engendré par l’avènement de la Covid-19 et ses conséquences sur la République Centrafricaine comportent des défis énormes qu’il est important d’en débattre.
Il pense que le développement de la maladie à coronavirus a bouleversé l’équilibre sociopolitique et économique mondiale. Mais sa gestion dépend des contextes de chaque pays.
Dans le contexte centrafricain, la gestion de cette maladie est totalement diffèrent des autres pays. « Les réponses sont variées selon les états » a-t-il déclaré.
Il convient de signaler que pendant les journées du 04 et 05 Août, les conseillers ont été édifiés respectivement sur la connaissance et la prévention et sur l’impact socio-économique de la Covid-19 dans le monde et en République Centrafricaine.
Pour Me. Serge Alain Bazoli, la réaction institutionnelle du pouvoir public centrafricain n’a pas tenu compte des effets juridiques dans le cadre de la gestion de cette pandémie car tout porte à croire que les autorités du pays n'avaient pas réuni toutes les compétences nécessaires avant la prise des mesures édictées.
Me. Serge Alain Bazoli a relevé que la réaction du pouvoir public centrafricain face à cette pandémie a présenté beaucoup d’incohérence par rapport aux autres pays frontaliers qui ont pris des mesures fortes.
« La réaction étatique dans la gestion de cette pandémie en Centrafrique n’a pas été une réaction formelle », a déclaré Serge Alain Bazoli, car selon lui, aucune décision hautement juridique et contraignante n’a été prise.
Il poursuit en indiquant que le standard sanitaire universel de l’OMS en matière de la santé publique pour assister les citoyens n’est pas observé en République Centrafricaine, comparativement aux autres pays. Les mesures prises en Centrafrique ne sont pas totalement appliquées pour contenir la pandémie à coronavirus.
Quant à Monsieur Joseph Bindoumi, le monde entier s’est confronté à un véritable défi engendré par l’avènement de la Covid-19 et ses conséquences sur la République Centrafricaine comportent des défis énormes qu’il est important d’en débattre.
Il pense que le développement de la maladie à coronavirus a bouleversé l’équilibre sociopolitique et économique mondiale. Mais sa gestion dépend des contextes de chaque pays.
Dans le contexte centrafricain, la gestion de cette maladie est totalement diffèrent des autres pays. « Les réponses sont variées selon les états » a-t-il déclaré.
Il convient de signaler que pendant les journées du 04 et 05 Août, les conseillers ont été édifiés respectivement sur la connaissance et la prévention et sur l’impact socio-économique de la Covid-19 dans le monde et en République Centrafricaine.