Cette décision a été prise par les adhérents des différentes centrales syndicales à l’issue d’une assemblée générale commune, suite aux efforts du gouvernement qui vient de verser deux mois d’arriérés de salaires (février et mars 2007).
« Nous avons décidé avec toute responsabilité de la reprise de travail sur toute l’étendue du territoire à partir de jeudi 11 octobre 2007 », a déclaré le président de la coordination, M. Jean Marie Agoutoco, espérant rencontrer régulièrement le gouvernement afin de discuter dans le sens de la prise en compte des intérêts des travailleurs.
M. Agoutoco a estimé que beaucoup de choses restent à faire pour améliorer les conditions de vie et de travail des Centrafricains.
« Nous ne pouvons qu’encourager le gouvernement à opter pour des réponses rapides et immédiates aux préoccupations des travailleurs », a-t-il conclu.
En outre, le Secrétaire général adjoint de l’Union syndicale des travailleurs de Centrafrique (USTC), M. Noël Ramandan, a souhaité que le gouvernement puisse faire en sorte que d’ici le 31 décembre on « ne puisse plus parler des arriérés de salaires de l’année 2007 » et pour que le gouvernement ne puisse s’atteler qu’au paiement des salaires à terme échu.
Rappelons que l’USTC était rentrée en grève le 17 septembre dernier, elle était suivie par la coordination des centrales syndicales le 24 septembre. Les points de revendications étaient entre autres le versement de huit mois d’arriérés de salaires, le déblocage total des effets financiers des avancements et le paiement intégral des arriérés de salaires des deux précédents régimes.
« Nous avons décidé avec toute responsabilité de la reprise de travail sur toute l’étendue du territoire à partir de jeudi 11 octobre 2007 », a déclaré le président de la coordination, M. Jean Marie Agoutoco, espérant rencontrer régulièrement le gouvernement afin de discuter dans le sens de la prise en compte des intérêts des travailleurs.
M. Agoutoco a estimé que beaucoup de choses restent à faire pour améliorer les conditions de vie et de travail des Centrafricains.
« Nous ne pouvons qu’encourager le gouvernement à opter pour des réponses rapides et immédiates aux préoccupations des travailleurs », a-t-il conclu.
En outre, le Secrétaire général adjoint de l’Union syndicale des travailleurs de Centrafrique (USTC), M. Noël Ramandan, a souhaité que le gouvernement puisse faire en sorte que d’ici le 31 décembre on « ne puisse plus parler des arriérés de salaires de l’année 2007 » et pour que le gouvernement ne puisse s’atteler qu’au paiement des salaires à terme échu.
Rappelons que l’USTC était rentrée en grève le 17 septembre dernier, elle était suivie par la coordination des centrales syndicales le 24 septembre. Les points de revendications étaient entre autres le versement de huit mois d’arriérés de salaires, le déblocage total des effets financiers des avancements et le paiement intégral des arriérés de salaires des deux précédents régimes.