Le chef de service des Etudes et Recherches dudit institut, Martial-Tanguy Ouakouma a indiqué que la collecte des résultats de la 1ère phase a été réalisée par téléphone auprès d’un échantillon de 600 ménages représentatifs de la population de Bangui, Bimbo et Bégoua, avec un taux de couverture de 100%, grâce à l’appui technique et financier de la Banque Mondial et l’assistance technique du Programme Alimentaire Mondial.
Il a expliqué que l’échantillon a permis de décliner les résultats statistiques significatifs au niveau de l’ensemble de ces trois zones dont les principaux thèmes abordés par cette première phase de l’enquête portent sur le niveau de connaissances sur la COVID-19, l’emploi, la santé, l’éducation, la sécurité alimentaire, l’assistance et les chocs.
Selon lui, l’étude a révélé que la quasi-totalité des répondants ont entendu parler du COVID-19 à travers les trois principaux canaux notamment, la radio la télévision et les affiches, ceci par l’intensification des campagnes de sensibilisation et de médiatisation faites par le ministère de la Santé.
« Bien que la plupart des ménages aient une bonne connaissance de la maladie et des mesures barrières édictées par le gouvernement, un certain nombre parmi eux continuent d’adopter un comportement à risque qui pourrait favoriser la transmission », a souligné Martial-Tanguy Ouakouma.
Le Directeur des méthodes, des Normes, des Etudes et Recherches Christian Ndjekou a fait savoir que l’impact de la COVID-19 sur l’emploi des ménages se traduit par la perte d’emploi et la diminution de revenus des ménages ont été les principaux effets de la pandémie.
« Les résultats de l’enquête indiquent que seulement 52,2% des ménages interrogés étaient en mesure d’effectuer un travail rémunéré ou une activité génératrice de revenus ou commerciale, une semaine avant l’enquête, contre 77,7% avant la crise sanitaire », a précisé le Directeur des Méthodes.
En abordant l’impact de la COVID-9 sur la santé et l’alimentation des ménages, il a relevé que la baisse des revenus a eu un impact significatif sur l’accès aux soins de santé et la sécurité alimentaire des ménages. "En effet, 74, 2% interrogées déclarent ne pas avoir pu acheter les médicaments dont elles ont besoin", a-t-il précisé, tout en poursuivant que d’autres ont dit qu’au cours des 30 derniers jours, leur ménage a été exposé à l’insécurité alimentaire parce qu’il n’y avait pas assez à manger en raison de manque d’argent.
Il convient d’annoncer que l’enquête de la deuxième phase a déjà commencé le 24 août dernier et se poursuit jusqu'au 5 septembre prochain. Elle va couvrir toutes les préfectures de la République Centrafricaine à travers le téléphone et une autre étude sera réalisée sur les entreprises sur le financement du Programme des Nations Unies pour le Développement.
Il a expliqué que l’échantillon a permis de décliner les résultats statistiques significatifs au niveau de l’ensemble de ces trois zones dont les principaux thèmes abordés par cette première phase de l’enquête portent sur le niveau de connaissances sur la COVID-19, l’emploi, la santé, l’éducation, la sécurité alimentaire, l’assistance et les chocs.
Selon lui, l’étude a révélé que la quasi-totalité des répondants ont entendu parler du COVID-19 à travers les trois principaux canaux notamment, la radio la télévision et les affiches, ceci par l’intensification des campagnes de sensibilisation et de médiatisation faites par le ministère de la Santé.
« Bien que la plupart des ménages aient une bonne connaissance de la maladie et des mesures barrières édictées par le gouvernement, un certain nombre parmi eux continuent d’adopter un comportement à risque qui pourrait favoriser la transmission », a souligné Martial-Tanguy Ouakouma.
Le Directeur des méthodes, des Normes, des Etudes et Recherches Christian Ndjekou a fait savoir que l’impact de la COVID-19 sur l’emploi des ménages se traduit par la perte d’emploi et la diminution de revenus des ménages ont été les principaux effets de la pandémie.
« Les résultats de l’enquête indiquent que seulement 52,2% des ménages interrogés étaient en mesure d’effectuer un travail rémunéré ou une activité génératrice de revenus ou commerciale, une semaine avant l’enquête, contre 77,7% avant la crise sanitaire », a précisé le Directeur des Méthodes.
En abordant l’impact de la COVID-9 sur la santé et l’alimentation des ménages, il a relevé que la baisse des revenus a eu un impact significatif sur l’accès aux soins de santé et la sécurité alimentaire des ménages. "En effet, 74, 2% interrogées déclarent ne pas avoir pu acheter les médicaments dont elles ont besoin", a-t-il précisé, tout en poursuivant que d’autres ont dit qu’au cours des 30 derniers jours, leur ménage a été exposé à l’insécurité alimentaire parce qu’il n’y avait pas assez à manger en raison de manque d’argent.
Il convient d’annoncer que l’enquête de la deuxième phase a déjà commencé le 24 août dernier et se poursuit jusqu'au 5 septembre prochain. Elle va couvrir toutes les préfectures de la République Centrafricaine à travers le téléphone et une autre étude sera réalisée sur les entreprises sur le financement du Programme des Nations Unies pour le Développement.