POLITIQUE
Le but de cette visite sur le site de la Paroisse Notre Dame de Fatima est de constater les conditions de vie des personnes déplacées sur les sites.
Pour la vice-coordinatrice des personnes déplacées, Mme Marcelline Kagbé, " Si vous désarmez aujourd’hui la ville de Bangui, nous sommes prêts avec ou sans argent à regagner nos domiciles. Car, nous sommes fatigués. Les enfants, par la force de dormir en plein air et dans des conditions inhumaines, sont constamment malades avec des boutons sur la peau".
La ministre des Affaires sociales, Eugénie Yarafa, a quant à elle exprimé sa compassion à l’égard des déplacés avant d’affirmer que « le gouvernement s’attelle sur le dossier pour que la sécurité revienne. Les forces internationales, la gendarmerie et la police nationale travailleront ensemble avec un mandat plus robuste, pour que la sécurité de la population centrafricaine soit assurée. »
Le site des déplacés de la Paroisse Notre Dame compte plus de 500 déplacés. Plusieurs personnes l’ont regagné après les événements du 26 septembre dernier. Les conditions de vie y sont précaires.
Il est à noter que la mission s’est rendue d’abord sur le site des déplacés de la FATEB dans le 2ème Arrondissement , du Camp des Castors dans le 3ème Arrondissement, de Saint Jacques dans le 6ème Arrondissement , avant d’arriver sur le site de paroisse Notre Dame de Fatima toujours dans le 6ème Arrondissement.
Pour la vice-coordinatrice des personnes déplacées, Mme Marcelline Kagbé, " Si vous désarmez aujourd’hui la ville de Bangui, nous sommes prêts avec ou sans argent à regagner nos domiciles. Car, nous sommes fatigués. Les enfants, par la force de dormir en plein air et dans des conditions inhumaines, sont constamment malades avec des boutons sur la peau".
La ministre des Affaires sociales, Eugénie Yarafa, a quant à elle exprimé sa compassion à l’égard des déplacés avant d’affirmer que « le gouvernement s’attelle sur le dossier pour que la sécurité revienne. Les forces internationales, la gendarmerie et la police nationale travailleront ensemble avec un mandat plus robuste, pour que la sécurité de la population centrafricaine soit assurée. »
Le site des déplacés de la Paroisse Notre Dame compte plus de 500 déplacés. Plusieurs personnes l’ont regagné après les événements du 26 septembre dernier. Les conditions de vie y sont précaires.
Il est à noter que la mission s’est rendue d’abord sur le site des déplacés de la FATEB dans le 2ème Arrondissement , du Camp des Castors dans le 3ème Arrondissement, de Saint Jacques dans le 6ème Arrondissement , avant d’arriver sur le site de paroisse Notre Dame de Fatima toujours dans le 6ème Arrondissement.
