« Suite à des affrontements survenus à Birao, il y a un retour à la normale et le gouvernement a instruit la MINUSCA d’accentuer des patrouilles dans la ville et autour du marché principal de Birao. Les gendarmes et les policiers seront bientôt déployés dans cette ville », a indiqué le porte-parole du gouvernement, Ange Maxime Kazagui.
Le ministre Kazagui a relevé qu’à Mingala dans la Préfecture de la Basse-Kotto, le gouvernement est confronté au problème du déploiement logistique de la MINUSCA, car le pont principal qui donne l’accès dans la zone, s'est effondré empêchant le passage des engins des troupes en mission dans la zone.
Concernant les événements survenus le 10 septembre au Km5, le membre du gouvernement a expliqué qu’il s’agit d’une mésentente entre les éléments d’autodéfense de Moussa Donda qui voulait collecter illégalement des taxes sur les marchandises des commerçants, ce qui a dégénéré une panique au sein de la population.
« La perception d’ambivalence que l’on peut voir dans la détermination au sein de certains leaders des groupes armés signataires de l’accord politique pour la paix et la réconciliation, reste un défi important pour la mise en œuvre de cet accord », a souligné le porte-parole.
Le ministre demande aux facilitateurs et garants à prendre leur responsabilité en infligeant des sanctions aux groupes armée qui font obstruction sur le terrain à la mise en œuvre du processus de paix.
Le Porte-parole de la MINUSCA, Valdimir Montéro a, pour sa part, réitéré que la situation sécuritaire à Birao dans la Préfecture de Vakaga préoccupe son institution, ce qui démontre à suffisance la position commune le 1er septembre dernier, du Représentant spéciale des Nations Unies, les garants de l’Union Africaine (UA) et de la Communauté Economique de l’Afrique Centrale (CEAC) sur la question. Ils ont entamé des discutions avec le gouvernement pour que les deux groupes armés cessent les combats.
Il convient de rappeler que le 24 Avril dernier, le gouvernement centrafricain a exprimé sa volonté de travailler avec les différentes couches de la société centrafricaine dans le cadre de la vulgarisation de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine.
Le ministre Kazagui a relevé qu’à Mingala dans la Préfecture de la Basse-Kotto, le gouvernement est confronté au problème du déploiement logistique de la MINUSCA, car le pont principal qui donne l’accès dans la zone, s'est effondré empêchant le passage des engins des troupes en mission dans la zone.
Concernant les événements survenus le 10 septembre au Km5, le membre du gouvernement a expliqué qu’il s’agit d’une mésentente entre les éléments d’autodéfense de Moussa Donda qui voulait collecter illégalement des taxes sur les marchandises des commerçants, ce qui a dégénéré une panique au sein de la population.
« La perception d’ambivalence que l’on peut voir dans la détermination au sein de certains leaders des groupes armés signataires de l’accord politique pour la paix et la réconciliation, reste un défi important pour la mise en œuvre de cet accord », a souligné le porte-parole.
Le ministre demande aux facilitateurs et garants à prendre leur responsabilité en infligeant des sanctions aux groupes armée qui font obstruction sur le terrain à la mise en œuvre du processus de paix.
Le Porte-parole de la MINUSCA, Valdimir Montéro a, pour sa part, réitéré que la situation sécuritaire à Birao dans la Préfecture de Vakaga préoccupe son institution, ce qui démontre à suffisance la position commune le 1er septembre dernier, du Représentant spéciale des Nations Unies, les garants de l’Union Africaine (UA) et de la Communauté Economique de l’Afrique Centrale (CEAC) sur la question. Ils ont entamé des discutions avec le gouvernement pour que les deux groupes armés cessent les combats.
Il convient de rappeler que le 24 Avril dernier, le gouvernement centrafricain a exprimé sa volonté de travailler avec les différentes couches de la société centrafricaine dans le cadre de la vulgarisation de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine.