POLITIQUE
Le directeur de l'ACAP, Simon-Pierre Ndouba, déposant une gerbe de fleurs sur le cercueil de son défunt prédécesseur
Dans l’éloge funèbre qu’il a prononcé, Simon-Pierre Ndouba, qui a pris le témoin après Démangho en 2005, a dit vouloir témoigner « des qualités et valeurs dont il était pétri, mais qui disparaissent dans notre pays, à savoir les bonnes manières, l’élégance physique, la droiture de la plume agencielle, le civisme, la conscience professionnelle et l’intégrité ».
« Pendant sa vie de retraité, ses rares passages à l’ACAP furent pour moi des moments privilégiés où je continuais d’apprendre sur lui-même, sur l’ACAP, sur la République Centrafricaine et sur la vie du chef de quartier qu’il était devenu peu après son départ à la retraite », a témoigné Simon-Pierre Ndouba.
Le Directeur des Affaires administratives et communales, Fils Minangué-Kenguéna a retracé le parcours du défunt dans l’oraison, après ses études scolaires et universitaires en Centrafrique, puis à Dakar, au Sénégal, ensuite à Yaoundé, au Cameroun, et enfin à Kinshasa, au Zaïre (actuelle République Démocratique du Congo).
D’après lui, ces études sont sanctionnées par les diplômes entre autres le Diplôme de traducteur assermenté d’Allemand, Licence en sciences et techniques de l’information, option presse écrite, Licence du système Belge de sciences et techniques de l’information, option conseil en relations publiques et d’attaché de presse et Maîtrise en sciences de l’information.
Après son intégration dans la Fonction publique centrafricaine, feu Démangho a été entre autres journaliste reporter, journaliste du Desk, puis rédacteur en chef et secrétaire de rédaction, avant d’occuper le poste de directeur et de directeur général de la presse écrite, son dernier poste.
Pour sa récompense dans l’administration centrafricaine, le disparu a reçu des distinctions honorifiques entre autres Chevalier de la reconnaissance centrafricaine à titre exceptionnel, Chevalier du mérite centrafricain et Officier du mérite centrafricain.
Elu chef du quartier Ed-Ville, dans le 5ème arrondissement de Bangui en 2005 et chef de groupe en 2013, feu Léon-Marie Démangho laisse derrière lui une veuve, sept enfants, 25 petits-enfants et cinq arrière-petits-enfants.
Décédé le 14 avril dernier à l’âge de 74 ans à l’hôpital communautaire de Bangui par suite de maladie, Léon-Marie Démangho a été inhumé ce 27 avril en début d’après-midi dans la propriété familiale à Sakaï (8 km à l’ouest de Bangui).
« Pendant sa vie de retraité, ses rares passages à l’ACAP furent pour moi des moments privilégiés où je continuais d’apprendre sur lui-même, sur l’ACAP, sur la République Centrafricaine et sur la vie du chef de quartier qu’il était devenu peu après son départ à la retraite », a témoigné Simon-Pierre Ndouba.
Le Directeur des Affaires administratives et communales, Fils Minangué-Kenguéna a retracé le parcours du défunt dans l’oraison, après ses études scolaires et universitaires en Centrafrique, puis à Dakar, au Sénégal, ensuite à Yaoundé, au Cameroun, et enfin à Kinshasa, au Zaïre (actuelle République Démocratique du Congo).
D’après lui, ces études sont sanctionnées par les diplômes entre autres le Diplôme de traducteur assermenté d’Allemand, Licence en sciences et techniques de l’information, option presse écrite, Licence du système Belge de sciences et techniques de l’information, option conseil en relations publiques et d’attaché de presse et Maîtrise en sciences de l’information.
Après son intégration dans la Fonction publique centrafricaine, feu Démangho a été entre autres journaliste reporter, journaliste du Desk, puis rédacteur en chef et secrétaire de rédaction, avant d’occuper le poste de directeur et de directeur général de la presse écrite, son dernier poste.
Pour sa récompense dans l’administration centrafricaine, le disparu a reçu des distinctions honorifiques entre autres Chevalier de la reconnaissance centrafricaine à titre exceptionnel, Chevalier du mérite centrafricain et Officier du mérite centrafricain.
Elu chef du quartier Ed-Ville, dans le 5ème arrondissement de Bangui en 2005 et chef de groupe en 2013, feu Léon-Marie Démangho laisse derrière lui une veuve, sept enfants, 25 petits-enfants et cinq arrière-petits-enfants.
Décédé le 14 avril dernier à l’âge de 74 ans à l’hôpital communautaire de Bangui par suite de maladie, Léon-Marie Démangho a été inhumé ce 27 avril en début d’après-midi dans la propriété familiale à Sakaï (8 km à l’ouest de Bangui).
