Après la levée du corps à la morgue de l’hôpital général de Bangui, le cercueil enveloppé par l’emblème nationale a été exposé au domicile du défunt à Boy-Rabe dans le 4ème arrondissement avant d’être transféré à la caserne du BIT, au P.K 12 (porte nord de Bangui), ou s’étaient massés les ex-libérateurs, les parents, amis, connaissances ainsi que de nombreux curieux.
Compagnon de Célestin Dogo dans la rébellion qui a porté le général François Bozizé au pouvoir le 15 mars 2003, le commandant Sylvain Ndoutingaï, actuel ministre des Mines et de l’Energie, a souligné dans l’oraison funèbre que « le lieutenant Dogo, qui avait pourtant été radié du contrôle des armés, n’a pas admis, qu’une partie de notre territoire soit occupée par les ennemis de la nation. »
C’est ainsi, a-t-il ajouté, ‘’qu’il s’est porté volontaire pour rejoindre ses frères d’armes au front’’. De là, « l’ennemi a eu raison de lui ».
« C’est bien là, un exemple de courage, surtout de patriotisme et de sacrifice qui se découvre rarement et que vient de nous léguer en héritage le lieutenant Dogo, », a conclu le Commandant Ndoutingaï.
Pour sa part, le Président de la République, François Bozizé, a déclaré : « vous nous quittez ce jour, en laissant deux messages. Le premier : vous avez rempli ‘’votre mission’’ et le second ‘’à tous les détracteurs, que vous êtes tombé l’arme à la main, mais pas comme les autres qui ont couru l’arme à la main pour rentrer à Bangui ».
Il a ensuite remis à titre posthume la croix de la valeur militaire à Célestin Dogo, qui a également été élevé au grade de lieutenant.
Le cortège funèbre a quitté la caserne du BIT à 12 heures pour la ferme familiale située au P. K. 30 sur la route de Boali ou l’inhumation devrait avoir lieu dans l’après-midi.
Promu sous-lieutenant au lendemain de la prise du pouvoir par le général Bozizé, le 15 mars 2003, Célestin Dogo (34 ans) a été rayé du contrôle des Forces armées centrafricaines (FACA) en septembre 2004.
A la tête d’un détachement dépêché à Tiringoulou suite à la défection d’une cinquantaine d’hommes en poste à Birao, il a trouvé la mort le 26 mai dernier dans une embuscade tendue par un groupe d’hommes armés.
Compagnon de Célestin Dogo dans la rébellion qui a porté le général François Bozizé au pouvoir le 15 mars 2003, le commandant Sylvain Ndoutingaï, actuel ministre des Mines et de l’Energie, a souligné dans l’oraison funèbre que « le lieutenant Dogo, qui avait pourtant été radié du contrôle des armés, n’a pas admis, qu’une partie de notre territoire soit occupée par les ennemis de la nation. »
C’est ainsi, a-t-il ajouté, ‘’qu’il s’est porté volontaire pour rejoindre ses frères d’armes au front’’. De là, « l’ennemi a eu raison de lui ».
« C’est bien là, un exemple de courage, surtout de patriotisme et de sacrifice qui se découvre rarement et que vient de nous léguer en héritage le lieutenant Dogo, », a conclu le Commandant Ndoutingaï.
Pour sa part, le Président de la République, François Bozizé, a déclaré : « vous nous quittez ce jour, en laissant deux messages. Le premier : vous avez rempli ‘’votre mission’’ et le second ‘’à tous les détracteurs, que vous êtes tombé l’arme à la main, mais pas comme les autres qui ont couru l’arme à la main pour rentrer à Bangui ».
Il a ensuite remis à titre posthume la croix de la valeur militaire à Célestin Dogo, qui a également été élevé au grade de lieutenant.
Le cortège funèbre a quitté la caserne du BIT à 12 heures pour la ferme familiale située au P. K. 30 sur la route de Boali ou l’inhumation devrait avoir lieu dans l’après-midi.
Promu sous-lieutenant au lendemain de la prise du pouvoir par le général Bozizé, le 15 mars 2003, Célestin Dogo (34 ans) a été rayé du contrôle des Forces armées centrafricaines (FACA) en septembre 2004.
A la tête d’un détachement dépêché à Tiringoulou suite à la défection d’une cinquantaine d’hommes en poste à Birao, il a trouvé la mort le 26 mai dernier dans une embuscade tendue par un groupe d’hommes armés.