L’objectif de cette mission des membres du gouvernement centrafricain à Washington est de sensibiliser les autorités du Fonds Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale (BM) afin d’accompagner la République centrafricaine.
Le ministre des Finances et du Budget, Henri-Marie Dondra, a fait savoir que la principale préoccupation évoquée lors de cette rencontre concerne les questions sécuritaires qu’il faut financer.
« L’accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique, signé le 6 février dernier à Bangui, va forcément impliquer des dépenses nouvelles, qui n’ont pas été prévues dans le budget, donc, il fallait en débattre », a précisé le membre du gouvernement.
Le Chef du département des Finances et du Budget a souligné que « c’était aussi l’occasion au niveau du FMI d’aborder les questions de la stratégie fiscale de la République centrafricaine », tout en précisant dans quel cadre cette Institution financière doit accompagner la RCA en terme de stratégie.
Le ministre Félix Moloua a relevé qu’avec la Banque mondiale « nous allons d’ici la fin du programme dépasser 800 millions de dollars américains ».
« Aujourd’hui, nous devons consommer toutes ces ressources, c’est pour cela que nous avons besoin des actions urgentes et concertées afin que les projets qui sont déjà mis en œuvre soient achevés pour avoir des résultats », a souligné le membre du gouvernement.
Le chef du département de l’Economie a exhorté les responsables des cellules de gestion à mettre en œuvre les projets dans les délais car le portefeuille est garni et le gouvernement évite les petits projets pour un grand programme.
Il convient de noter qu’une mission conjointe FMI-BM est arrivée à Bangui pour débattre toutes les questions de la 6ème revue, de l’économie numérique, de l’autonomisation des femmes et faire l’état des lieux de l’éducation et de la santé.
Le ministre des Finances et du Budget, Henri-Marie Dondra, a fait savoir que la principale préoccupation évoquée lors de cette rencontre concerne les questions sécuritaires qu’il faut financer.
« L’accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique, signé le 6 février dernier à Bangui, va forcément impliquer des dépenses nouvelles, qui n’ont pas été prévues dans le budget, donc, il fallait en débattre », a précisé le membre du gouvernement.
Le Chef du département des Finances et du Budget a souligné que « c’était aussi l’occasion au niveau du FMI d’aborder les questions de la stratégie fiscale de la République centrafricaine », tout en précisant dans quel cadre cette Institution financière doit accompagner la RCA en terme de stratégie.
Le ministre Félix Moloua a relevé qu’avec la Banque mondiale « nous allons d’ici la fin du programme dépasser 800 millions de dollars américains ».
« Aujourd’hui, nous devons consommer toutes ces ressources, c’est pour cela que nous avons besoin des actions urgentes et concertées afin que les projets qui sont déjà mis en œuvre soient achevés pour avoir des résultats », a souligné le membre du gouvernement.
Le chef du département de l’Economie a exhorté les responsables des cellules de gestion à mettre en œuvre les projets dans les délais car le portefeuille est garni et le gouvernement évite les petits projets pour un grand programme.
Il convient de noter qu’une mission conjointe FMI-BM est arrivée à Bangui pour débattre toutes les questions de la 6ème revue, de l’économie numérique, de l’autonomisation des femmes et faire l’état des lieux de l’éducation et de la santé.