Organisé par la Section Information du Bureau Intégré des Nations-Unies en Centrafrique (BINUCA), destinée aux participants venus des préfectures de la Nana-Mambéré, de l’Ouham-Pendé, de Mambéré Kadéi et de la Sangha Mbaéré a pour but de leur inculquer les notions de base des droits de l’homme pour une bonne participation à la sensibilisation de la population sur cette question.
« S’il est vrai que la République Centrafricaine appartient aux Centrafricains aujourd’hui, qu’elle s’est dotée de tous les mécanismes nécessaires au fonctionnement de l’Etat de droit, la paix devrait pouvoir se faire », a estimé M. Kaba, chef de Section Information par Intérim du BINUCA.
Il a expliqué que les notions d’Etat de droits et de Citoyenneté apparaissent comme des concepts d’actualité dans les sociétés qui aspirent à la démocratie et à la modernité.
Selon Ousmane Kaba, la culture de la paix et le civisme exigent le respect des Institutions de la République, garant de la stabilité, facteur du développement dans un Etat de droit.
Pour lui, les conséquences de l’utilisation de la violence sont désastreuses tant pour la population que pour la victime.
Pour le Préfet de la Nana Mambéré Sosthène Dengbé, cette formation vient à point nommé renforcer la capacité des journalistes dans le domaine professionnel, mais aussi dans celui des droits de l’Homme.
Car a-t-il complété « le métier du journalisme nécessite une formation adéquate, parce que le message délivré par le journaliste s’adresse à un grand public avant d’ajouter qu’en tant que « quatrième pouvoir », la presse a un rôle très important à jouer dans le processus de démocratisation du pays.
Durant cinq jours, les participants ont été édifiés sur les modules tels que, les droits des femmes et les violences basées sur le Genre, Justice populaire et sanction pénales, les droits de l’enfant, l’Ecriture journalistique audiovisuelle, Medias et Droits de l’Homme et Qu’est-ce que le journalisme.
Cette formation était ponctuée de campagnes de sensibilisation de la population de la Nana-Mambéré sur les droits de l’Homme.
« S’il est vrai que la République Centrafricaine appartient aux Centrafricains aujourd’hui, qu’elle s’est dotée de tous les mécanismes nécessaires au fonctionnement de l’Etat de droit, la paix devrait pouvoir se faire », a estimé M. Kaba, chef de Section Information par Intérim du BINUCA.
Il a expliqué que les notions d’Etat de droits et de Citoyenneté apparaissent comme des concepts d’actualité dans les sociétés qui aspirent à la démocratie et à la modernité.
Selon Ousmane Kaba, la culture de la paix et le civisme exigent le respect des Institutions de la République, garant de la stabilité, facteur du développement dans un Etat de droit.
Pour lui, les conséquences de l’utilisation de la violence sont désastreuses tant pour la population que pour la victime.
Pour le Préfet de la Nana Mambéré Sosthène Dengbé, cette formation vient à point nommé renforcer la capacité des journalistes dans le domaine professionnel, mais aussi dans celui des droits de l’Homme.
Car a-t-il complété « le métier du journalisme nécessite une formation adéquate, parce que le message délivré par le journaliste s’adresse à un grand public avant d’ajouter qu’en tant que « quatrième pouvoir », la presse a un rôle très important à jouer dans le processus de démocratisation du pays.
Durant cinq jours, les participants ont été édifiés sur les modules tels que, les droits des femmes et les violences basées sur le Genre, Justice populaire et sanction pénales, les droits de l’enfant, l’Ecriture journalistique audiovisuelle, Medias et Droits de l’Homme et Qu’est-ce que le journalisme.
Cette formation était ponctuée de campagnes de sensibilisation de la population de la Nana-Mambéré sur les droits de l’Homme.