POLITIQUE
« Nous sommes conscients qu’on a mal géré et que nous demandons pardon à nos militants », a notamment déclaré M. Koyambounou, au cours d'une conférence de presse au siège provisoire du Mlpc à Bangui.
Il a expliqué qu'en accédant à la magistrature suprême de l’Etat en 1993, le Mlpc voulait imprimer une nouvelle vision de la gestion de la chose publique en initiant la commission parlementaire d’audit sur la gestion du régime Kolingba (1981 - 1993), qui a malheureusement débouché sur les soubresauts militaro-politiques et finalement la perte du pouvoir.
« le MLPC va reconquérir le pouvoir aux élections présidentielles de 2010 », a prédit M. Koyambounou, qui a précisé que son parti venait de redynamiser ses organes de base dans 8 des 16 préfectures du pays et qu'il avait déjà choisis ses candidats aux élections législatives de 2010.
Officiellement Créé le 22 février 1979, le Mlpc a accédé au pouvoir de l’Etat en octobre 1993 avec à sa tête le président déchu Ange Félix Patassé, qui sera réélu en septembre 1999, avant d'être renverser par le général Bozizé le 15 mars 2003.
Il compte, à ce jour, seize mille militants et douze députés sur les 105 qui siègent à l’Assemblée Nationale.
Il a expliqué qu'en accédant à la magistrature suprême de l’Etat en 1993, le Mlpc voulait imprimer une nouvelle vision de la gestion de la chose publique en initiant la commission parlementaire d’audit sur la gestion du régime Kolingba (1981 - 1993), qui a malheureusement débouché sur les soubresauts militaro-politiques et finalement la perte du pouvoir.
« le MLPC va reconquérir le pouvoir aux élections présidentielles de 2010 », a prédit M. Koyambounou, qui a précisé que son parti venait de redynamiser ses organes de base dans 8 des 16 préfectures du pays et qu'il avait déjà choisis ses candidats aux élections législatives de 2010.
Officiellement Créé le 22 février 1979, le Mlpc a accédé au pouvoir de l’Etat en octobre 1993 avec à sa tête le président déchu Ange Félix Patassé, qui sera réélu en septembre 1999, avant d'être renverser par le général Bozizé le 15 mars 2003.
Il compte, à ce jour, seize mille militants et douze députés sur les 105 qui siègent à l’Assemblée Nationale.
