Centrafrique/Education :
Dans un communiqué rendu public mardi, le collectif justifie cet appel à la grève par l’échec d’une rencontre prévue avec le gouvernement une semaine plus tôt.
Interrogé par l’ACAP, le coordonnateur du collectif, M. Thierry Zouma, a expliqué qu’en mai dernier, le président de la république François Bozizé avait signé un décret portant statut particulier des enseignants du supérieur, mais depuis lors, la nouvelle grille salariale n’a été pas adoptée. C’est pourquoi les enseignants ont décidé d’agir que cette grille soit prise en compte dans le budget de 2007.
Il a également indiqué que l’Etat doit encore aux enseignants du supérieur un reliquat de plus de 200 millions F CFA de frais de vacation au titre de l’année académique 2004-2005, alors que l’année en cours va bientôt se terminer, ajoutant encore plus de 300 millions F CFA à payer.
La non satisfaction totale de ces revendications entraînerait la confiscation des copies des examens de la première session, compromettant la délibération ainsi que des conséquences sur le chronogramme de l’année 2005-2006.
Cette grève intervient après celle qui avait retardé la rentrée universitaire 2005-2006. Il s’agit d’une grève d’avertissement qui se limite à l’arrêt des activités pédagogiques (cours, soutenances, direction des travaux).
Notons que l’université de Bangui compte plus de neuf cents enseignants dont seulement 250 permanents (tous ayant des heures supplémentaires) et plus de 700 vacataires.
Dans un communiqué rendu public mardi, le collectif justifie cet appel à la grève par l’échec d’une rencontre prévue avec le gouvernement une semaine plus tôt.
Interrogé par l’ACAP, le coordonnateur du collectif, M. Thierry Zouma, a expliqué qu’en mai dernier, le président de la république François Bozizé avait signé un décret portant statut particulier des enseignants du supérieur, mais depuis lors, la nouvelle grille salariale n’a été pas adoptée. C’est pourquoi les enseignants ont décidé d’agir que cette grille soit prise en compte dans le budget de 2007.
Il a également indiqué que l’Etat doit encore aux enseignants du supérieur un reliquat de plus de 200 millions F CFA de frais de vacation au titre de l’année académique 2004-2005, alors que l’année en cours va bientôt se terminer, ajoutant encore plus de 300 millions F CFA à payer.
La non satisfaction totale de ces revendications entraînerait la confiscation des copies des examens de la première session, compromettant la délibération ainsi que des conséquences sur le chronogramme de l’année 2005-2006.
Cette grève intervient après celle qui avait retardé la rentrée universitaire 2005-2006. Il s’agit d’une grève d’avertissement qui se limite à l’arrêt des activités pédagogiques (cours, soutenances, direction des travaux).
Notons que l’université de Bangui compte plus de neuf cents enseignants dont seulement 250 permanents (tous ayant des heures supplémentaires) et plus de 700 vacataires.