L’objectif de ce point de presse est d’informer l’opinion nationale sur les affaires République Centrafricaine contre Joseph Kony, Vincent Otti, Okot Odhiambo et Dominic Ongwen.
Pour Gervais Bodangaye, la juge Ekaterina Trendafilova de la chambre préliminaire II de la Cour Pénale Internationale (CPI) a disjoint les procédures à l’encontre de Dominic Ongwen de l’affaire le Procureur contre Joseph Kony, Vincent Otti, Okot Odhiambo.
Il a argué que les trois autres suspects notamment Joseph Kony, Vincent Otti, Okot Odhiambo dans l’affaire n’ayant pas encore comparu ou été appréhendé, la chambre a jugé nécessaire de séparer l’affaire afin de pas retarder les procédures préliminaires à l’encontre de M. Ongwen.
Aux dires du service de l’information publique du bureau de la CPI à Bangui, Gervais Bodangaye, après avoir consulté le Procureur, la chambre a décidé de ne pas poursuivre Joseph Kony, Vincent Otti et Okot Odhiambo qui sont toujours en fuite, près de dix ans après que des mandats d’arrêt aient délivrés en leur rencontre.
Toutefois, le 8 juillet 2005, la CPI a délivré un mandat d’arrêt à son encontre pour trois chefs de crimes contre l’humanité (meurtre ; réduction en esclavage, et actes inhumains causant de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique) et quatre chefs de crimes de guerre (meurtre ; traitements cruels à l’encontre de civils ; fait de diriger intentionnellement une attaque contre une population civile ; et pillage) prétendument commis le ou vers le 20 mai 2004 au camp de déplacés de Lukodi, dans le distrit de Gulu (Ouganda).
Il est à rappeler que le 16 janvier dernier, Dominic Ongwen a été remis à la garde de la CPI et transféré au quartier pénitentiaire de la Cour le 21 janvier 2015. Sa première comparution devant la Cour a eu lieu le 26 janvier 2015.
Pour Gervais Bodangaye, la juge Ekaterina Trendafilova de la chambre préliminaire II de la Cour Pénale Internationale (CPI) a disjoint les procédures à l’encontre de Dominic Ongwen de l’affaire le Procureur contre Joseph Kony, Vincent Otti, Okot Odhiambo.
Il a argué que les trois autres suspects notamment Joseph Kony, Vincent Otti, Okot Odhiambo dans l’affaire n’ayant pas encore comparu ou été appréhendé, la chambre a jugé nécessaire de séparer l’affaire afin de pas retarder les procédures préliminaires à l’encontre de M. Ongwen.
Aux dires du service de l’information publique du bureau de la CPI à Bangui, Gervais Bodangaye, après avoir consulté le Procureur, la chambre a décidé de ne pas poursuivre Joseph Kony, Vincent Otti et Okot Odhiambo qui sont toujours en fuite, près de dix ans après que des mandats d’arrêt aient délivrés en leur rencontre.
Toutefois, le 8 juillet 2005, la CPI a délivré un mandat d’arrêt à son encontre pour trois chefs de crimes contre l’humanité (meurtre ; réduction en esclavage, et actes inhumains causant de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique) et quatre chefs de crimes de guerre (meurtre ; traitements cruels à l’encontre de civils ; fait de diriger intentionnellement une attaque contre une population civile ; et pillage) prétendument commis le ou vers le 20 mai 2004 au camp de déplacés de Lukodi, dans le distrit de Gulu (Ouganda).
Il est à rappeler que le 16 janvier dernier, Dominic Ongwen a été remis à la garde de la CPI et transféré au quartier pénitentiaire de la Cour le 21 janvier 2015. Sa première comparution devant la Cour a eu lieu le 26 janvier 2015.