PARIS, 25 juin (Xinhua) – Le président français François Hollande a appelé, mardi lors d'une rencontre avec des entrepreneurs chinois au Palais de l'Elysée, à résoudre les litiges commerciaux entre Beijing et Bruxelles, notamment celui portant sur l'importation de panneaux solaires de fabrication chinoise dans l'Union européenne, par la voie de la négociation.
Le président français a reçu mardi les membres du China Entrepreneur Club (CEC) et les participants à l'International Capital Conference (ICC) au palais de l'Elysée, à Paris.
"Devant les 40 dirigeants des plus grandes entreprises privées chinoises, le chef de l'Etat a souligné combien la France qui est la première destination en Europe pour les investissements chinois, constitue une porte vers l'Union européenne et les marchés tiers", a indiqué la présidence française, dans un communiqué.
"Il a rappelé le rôle grandissant de la place financière de Paris dans l'internationalisation du renminbi et les réformes engagées par le gouvernement pour renforcer la compétitivité et l'attractivité de nos territoires afin d'accueillir davantage d'investissements internationaux créateurs de croissance et d'emploi ", a-t-elle poursuivi.
M. Hollande a, de fait, souligné la volonté de la France de contribuer davantage à cette internationalisation du yuan ou renminbi (RMB), notamment par la création d'une ligne de "swap" de devises avec la Chine permettant à la Bourse de Paris de concurrencer sur ce plan celle de Londres.
"S'adressant aux participants de la quatrième édition de la conférence des dirigeants d'entreprises chinoises et européennes, le président de la République a appelé au renforcement du partenariat entre l'Europe et la Chine pour rééquilibrer les échanges économiques et financiers et permettre le retour d'une croissance mondiale soutenue et durable", a souligné l'Elysée.
"Il a souhaité que les différends économiques soient réglés par la négociation et noté la nécessité d'établir toutes les conditions favorables pour que les entreprises chinoises puissent investir en Europe et que les entreprises européennes puissent mieux s'implanter en Chine", a encore précisé la présidence.
Le président français a enfin exprimé son attachement au " partenariat stratégique global qui lie la France et la République populaire de Chine, une relation fondée sur la confiance, la réciprocité économique et la recherche de bénéfices mutuels".
Le président français a reçu mardi les membres du China Entrepreneur Club (CEC) et les participants à l'International Capital Conference (ICC) au palais de l'Elysée, à Paris.
"Devant les 40 dirigeants des plus grandes entreprises privées chinoises, le chef de l'Etat a souligné combien la France qui est la première destination en Europe pour les investissements chinois, constitue une porte vers l'Union européenne et les marchés tiers", a indiqué la présidence française, dans un communiqué.
"Il a rappelé le rôle grandissant de la place financière de Paris dans l'internationalisation du renminbi et les réformes engagées par le gouvernement pour renforcer la compétitivité et l'attractivité de nos territoires afin d'accueillir davantage d'investissements internationaux créateurs de croissance et d'emploi ", a-t-elle poursuivi.
M. Hollande a, de fait, souligné la volonté de la France de contribuer davantage à cette internationalisation du yuan ou renminbi (RMB), notamment par la création d'une ligne de "swap" de devises avec la Chine permettant à la Bourse de Paris de concurrencer sur ce plan celle de Londres.
"S'adressant aux participants de la quatrième édition de la conférence des dirigeants d'entreprises chinoises et européennes, le président de la République a appelé au renforcement du partenariat entre l'Europe et la Chine pour rééquilibrer les échanges économiques et financiers et permettre le retour d'une croissance mondiale soutenue et durable", a souligné l'Elysée.
"Il a souhaité que les différends économiques soient réglés par la négociation et noté la nécessité d'établir toutes les conditions favorables pour que les entreprises chinoises puissent investir en Europe et que les entreprises européennes puissent mieux s'implanter en Chine", a encore précisé la présidence.
Le président français a enfin exprimé son attachement au " partenariat stratégique global qui lie la France et la République populaire de Chine, une relation fondée sur la confiance, la réciprocité économique et la recherche de bénéfices mutuels".