« En tant que président du Cnosca et garant des valeurs olympiques, je compte parmi les cinq premiers Centrafricains qui estiment qu’il n’est pas normal d’envoyer des journalistes en prison. Mais si j’ai porté plainte, c’est parce que je tiens à protéger mon ethnie et ça c’est clair », a-t-il déclaré.
Selon M. Jacob Gbéti, l’article incriminé et qui l’a poussé à porter plainte contre le journal est de nature à soulever la haine tribale, qui pour lui, est « quelque chose de très répréhensible ».
Dans une série d’articles consacrés à la crise qui secoue la fédération centrafricaine de football, le journal La Plume accuse le président du Cnosca d’être indécis et de ne pas faire preuve de fermeté vis-à-vis de la Fifa, qui a décidé de ne pas reconnaître le nouveau bureau de cette organisation présidé par Patrice Edouard Ngaïssona.
A ce sujet, M. Jacob Gbéti a déclaré que « M. Ngaissona a été régulièrement élu. Il a été élu dans la transparence. Cette transparence a été consacrée par les représentants de la Fifa qui ont en ont validé les procès verbaux ».
Il a expliqué que la décision de la Fifa d’annuler les élections du 29 septembre dernier est la conséquence des multiples requêtes qui lui ont été adressées par les candidats malheureux.
Interrogé sur sa position par rapport à la décision de la Fifa, il a répondu que « la République Centrafricaine ne peut pas faire la guerre avec la Fifa. Si elle le fait, elle en subit les conséquences.Nous sommes de la famille olympique, mais chacun a ses règle », a-t-il dit.
« J’invite mon jeune frère Ngaissona à s’inscrire dans la démarchez de la Fifa. Le conseil que je lui donne, c’est qu’il se mette dans le comité de normalisation, qu’il se prépare pour aller aux nouvelles élections », déclaré.
Il convient de rappeler que la fédération centrafricaine de football traverse une période de crise depuis l’assemblée générale élective des 29 et 30 septembre 2007 qui a permis à Patrice Edouard Ngaissona de devenir président de ladite fédération.
Pour l’instant, les élections précédentes étant, annulées par la Fifa, un comité de normalisation est mis en place pour préparer de nouvelles élections.
Selon M. Jacob Gbéti, l’article incriminé et qui l’a poussé à porter plainte contre le journal est de nature à soulever la haine tribale, qui pour lui, est « quelque chose de très répréhensible ».
Dans une série d’articles consacrés à la crise qui secoue la fédération centrafricaine de football, le journal La Plume accuse le président du Cnosca d’être indécis et de ne pas faire preuve de fermeté vis-à-vis de la Fifa, qui a décidé de ne pas reconnaître le nouveau bureau de cette organisation présidé par Patrice Edouard Ngaïssona.
A ce sujet, M. Jacob Gbéti a déclaré que « M. Ngaissona a été régulièrement élu. Il a été élu dans la transparence. Cette transparence a été consacrée par les représentants de la Fifa qui ont en ont validé les procès verbaux ».
Il a expliqué que la décision de la Fifa d’annuler les élections du 29 septembre dernier est la conséquence des multiples requêtes qui lui ont été adressées par les candidats malheureux.
Interrogé sur sa position par rapport à la décision de la Fifa, il a répondu que « la République Centrafricaine ne peut pas faire la guerre avec la Fifa. Si elle le fait, elle en subit les conséquences.Nous sommes de la famille olympique, mais chacun a ses règle », a-t-il dit.
« J’invite mon jeune frère Ngaissona à s’inscrire dans la démarchez de la Fifa. Le conseil que je lui donne, c’est qu’il se mette dans le comité de normalisation, qu’il se prépare pour aller aux nouvelles élections », déclaré.
Il convient de rappeler que la fédération centrafricaine de football traverse une période de crise depuis l’assemblée générale élective des 29 et 30 septembre 2007 qui a permis à Patrice Edouard Ngaissona de devenir président de ladite fédération.
Pour l’instant, les élections précédentes étant, annulées par la Fifa, un comité de normalisation est mis en place pour préparer de nouvelles élections.