« L’olympisme a pour vocation principale la promotion de la société de manière que les gens vivent en paix, en frère, dans un climat de concorde, d’amitié, de tolérance, de fair play et de solidarité », a indiqué le président Gbéti.
Selon lui, le thème du congrès est structuré en 5 points parmi lesquels le volet athlètes qui a permis d’examiner les relations entre ces derniers et les clubs, et surtout de débattre de la vie sociale et professionnelle pendant et après le sport de haut niveau.
« S’agissant des jeux olympiques, le congrès a souhaité qu’ils deviennent une manifestation de premier plan renfermant les valeurs olympiques », a-t-il indiqué.
« L’autonomie du mouvement olympique, la bonne gouvernance et l’éthique, c'est-à-dire la relation entre les fédérations, les athlètes, le gouvernement et les comités nationaux olympiques » ont constitué le 3ème point, a ajouté M. Gbéti.
Pour le président du Cnosca, l’olympisme et la jeunesse sont des sous thèmes relatifs à la révolution numérique, c'est-à-dire que les médias et tout ce qui est nécessaire pour que le mouvement olympique soit connu dans l’intérêt du développement de l’homme dans la société.
« Nous avons l’obligation de soutenir les athlètes de par leur rôle de modèles dans la société car ils sont en mesure d’apporter une contribution majeure au mouvement olympique, et doivent être encouragés », a-t-il souligné.
« Chaque pays, chaque gouvernement est encouragé à mettre en place une structure pour permettre à leurs athlètes de haut niveau qui arrivent en fin de carrière sportive de s’épanouir », a précisé M. Jacob Gbéti, en citant le cas du basketteur centrafricain Séréfio.
«Le mouvement olympique repose sur le concept de l’autonomie de la bonne gouvernance, le congrès a convenu que la compréhension du caractère planétaire du sport doit être à la base de la structure du mouvement olympique, lui permettant ainsi d’intégrer avec succès dans les activités principales des stratégies de développement et des initiatives en matière d’éducation. Nous avons convenu que la société d’aujourd’hui est une société de communication, et on doit développer dans tous les pays cette activité, les progrès réalisés dans le domaine de technologie de l’information et de communication, ont marqué le début d’une nouvelle ère numérique qui a révolutionné le partage de diffusion de l’information qui continue à transformer notre société en un réseau mondial », a-t-il conclu.
Il faut noter que le congrès olympique se tient tous les quinze ans, et c’est au cours de ce congrès que tous les sujets relatifs à la promotion du mouvement olympique sont traités. Ces sujets sont traités et contenus dans une déclaration, dans des recommandations, que le CIO examine et essaye dans la mesure du possible de mettre en pratique, en agissant sur la charte olympique.
F. Biongo/ACAP
Selon lui, le thème du congrès est structuré en 5 points parmi lesquels le volet athlètes qui a permis d’examiner les relations entre ces derniers et les clubs, et surtout de débattre de la vie sociale et professionnelle pendant et après le sport de haut niveau.
« S’agissant des jeux olympiques, le congrès a souhaité qu’ils deviennent une manifestation de premier plan renfermant les valeurs olympiques », a-t-il indiqué.
« L’autonomie du mouvement olympique, la bonne gouvernance et l’éthique, c'est-à-dire la relation entre les fédérations, les athlètes, le gouvernement et les comités nationaux olympiques » ont constitué le 3ème point, a ajouté M. Gbéti.
Pour le président du Cnosca, l’olympisme et la jeunesse sont des sous thèmes relatifs à la révolution numérique, c'est-à-dire que les médias et tout ce qui est nécessaire pour que le mouvement olympique soit connu dans l’intérêt du développement de l’homme dans la société.
« Nous avons l’obligation de soutenir les athlètes de par leur rôle de modèles dans la société car ils sont en mesure d’apporter une contribution majeure au mouvement olympique, et doivent être encouragés », a-t-il souligné.
« Chaque pays, chaque gouvernement est encouragé à mettre en place une structure pour permettre à leurs athlètes de haut niveau qui arrivent en fin de carrière sportive de s’épanouir », a précisé M. Jacob Gbéti, en citant le cas du basketteur centrafricain Séréfio.
«Le mouvement olympique repose sur le concept de l’autonomie de la bonne gouvernance, le congrès a convenu que la compréhension du caractère planétaire du sport doit être à la base de la structure du mouvement olympique, lui permettant ainsi d’intégrer avec succès dans les activités principales des stratégies de développement et des initiatives en matière d’éducation. Nous avons convenu que la société d’aujourd’hui est une société de communication, et on doit développer dans tous les pays cette activité, les progrès réalisés dans le domaine de technologie de l’information et de communication, ont marqué le début d’une nouvelle ère numérique qui a révolutionné le partage de diffusion de l’information qui continue à transformer notre société en un réseau mondial », a-t-il conclu.
Il faut noter que le congrès olympique se tient tous les quinze ans, et c’est au cours de ce congrès que tous les sujets relatifs à la promotion du mouvement olympique sont traités. Ces sujets sont traités et contenus dans une déclaration, dans des recommandations, que le CIO examine et essaye dans la mesure du possible de mettre en pratique, en agissant sur la charte olympique.
F. Biongo/ACAP