Selon le président de la république, le peuple centrafricain, épris de paix et de la liberté comme tout le peuple du monde à une paix durable, au développement intégré et à l’émergence.
Le chef de l’Etat a souligné que le peuple centrafricain a subi pendant des décennies, de grande douleur, des tragédies, des brimades, des évènements terribles, qui ont minés son développement socio-économique et la condamne à la pauvreté et à la misère.
« Le peuple a toujours prouvé par la résilience, son travail opiniâtre, sa détermination a tourné cette page sombre de son histoire » a déclaré le président de la république.
Le numéro un centrafricain a expliqué que si dans bien des pays, la constitution qui régit la vie de l’Etat, par l’organisation des pouvoirs publics, la définition du fonctionnement des institutions publiques, l’organisation de la société nationale, la gestion du patrimoine nationale est conçu pour la pérennité et la stabilité des institutions et n’en demeure pas moins qu’elle est souvent modifiée et complétée, suivant les règles de chaque pays pour son adoption aux exigences socio-politiques et socio-économiques nationales et internationales.
Pour le chef de l’Etat, la révision de la constitution du 30 mars 2016 a été posée par certains centrafricains avisés qui pensent que les institutions prévues n’étaient pas encore mises en place.
« Des constitutionnalistes centrafricains ont estimé que la constitution du 30 mars 2016, était inapplicable car elle ne reflète les réalités socio-économiques et socio-politiques centrafricaines, parce qu’elle est tout sauf la loi fondamentale des centrafricains » a souligné le professeur Faustin Archange Touadéra.
S’agissant de la réécriture de cette constitution, le président de la république a souligné que l’idée a fait son cours depuis 2016 et a pris une nouvelle proportion lors du dialogue républicain qui a regroupé toutes les forces vives de la nation et les centrafricains de l’étranger.
Il a déclaré que cette nouvelle constitution aura l’ambition de créer les conditions d’une émergence plus rapide de la république centrafricaine, elle va briser la tendance périmée à la méfiance vis-à-vis de notre pays.
Pour finir, le président de la république a demandé à la direction nationale de la campagne d’user de tous les moyens pour favoriser l’appropriation de ce projet de la nouvelle constitution par l’ensemble des centrafricains à travers le monde.
Notons que la campagne référendaire débutera, le samedi 15 pour terminer le 28 juillet et le vote se déroulera le 30 juillet 2023.
Le chef de l’Etat a souligné que le peuple centrafricain a subi pendant des décennies, de grande douleur, des tragédies, des brimades, des évènements terribles, qui ont minés son développement socio-économique et la condamne à la pauvreté et à la misère.
« Le peuple a toujours prouvé par la résilience, son travail opiniâtre, sa détermination a tourné cette page sombre de son histoire » a déclaré le président de la république.
Le numéro un centrafricain a expliqué que si dans bien des pays, la constitution qui régit la vie de l’Etat, par l’organisation des pouvoirs publics, la définition du fonctionnement des institutions publiques, l’organisation de la société nationale, la gestion du patrimoine nationale est conçu pour la pérennité et la stabilité des institutions et n’en demeure pas moins qu’elle est souvent modifiée et complétée, suivant les règles de chaque pays pour son adoption aux exigences socio-politiques et socio-économiques nationales et internationales.
Pour le chef de l’Etat, la révision de la constitution du 30 mars 2016 a été posée par certains centrafricains avisés qui pensent que les institutions prévues n’étaient pas encore mises en place.
« Des constitutionnalistes centrafricains ont estimé que la constitution du 30 mars 2016, était inapplicable car elle ne reflète les réalités socio-économiques et socio-politiques centrafricaines, parce qu’elle est tout sauf la loi fondamentale des centrafricains » a souligné le professeur Faustin Archange Touadéra.
S’agissant de la réécriture de cette constitution, le président de la république a souligné que l’idée a fait son cours depuis 2016 et a pris une nouvelle proportion lors du dialogue républicain qui a regroupé toutes les forces vives de la nation et les centrafricains de l’étranger.
Il a déclaré que cette nouvelle constitution aura l’ambition de créer les conditions d’une émergence plus rapide de la république centrafricaine, elle va briser la tendance périmée à la méfiance vis-à-vis de notre pays.
Pour finir, le président de la république a demandé à la direction nationale de la campagne d’user de tous les moyens pour favoriser l’appropriation de ce projet de la nouvelle constitution par l’ensemble des centrafricains à travers le monde.
Notons que la campagne référendaire débutera, le samedi 15 pour terminer le 28 juillet et le vote se déroulera le 30 juillet 2023.