Organisée par l’Observatoire centrafricain des droits de l'Homme (OCDH) avec l’Association des victimes des événements de 2012-2014, cette journée a pour but d’attirer l’attention des nouvelles autorités centrafricaines sur les violations des droits de l’homme enregistrées ces derniers temps dans le pays.
Joseph Bindoumi a indiqué que la Journée Internationale des Droits de l’homme coïncide avec la journée de l’adoption de la déclaration universelle des droits de l’homme, le 10 décembre 1948, qui proclame les droits de chaque citoyen.
Selon lui, si les individus et les Etats respectaient cette loi, il ne devrait plus y avoir de conflit du genre de la second Guerre Mondiale.
Il a rappelé que le choix du site de Fatima pour ces festivités est symbolique en ce sens qu’au mois d’octobre 2015, des événements douloureux ont endeuillé ce quartier.
Il a aussi spécifié qu’en matière des droits de l’homme, les défenseurs ne doivent pas donner l’impression qu’ils sont résignés en attendant que le cortège des victimes augmente.
Il est à noter que cette mobilisation a réuni les victimes, les défenseurs des droits de l’homme et les victimes des destructions et des tueries enregistrées lors du conflit armé qui a secoué le pays depuis le renversement du président François Bozizé le 24 mars 2013.
Joseph Bindoumi a indiqué que la Journée Internationale des Droits de l’homme coïncide avec la journée de l’adoption de la déclaration universelle des droits de l’homme, le 10 décembre 1948, qui proclame les droits de chaque citoyen.
Selon lui, si les individus et les Etats respectaient cette loi, il ne devrait plus y avoir de conflit du genre de la second Guerre Mondiale.
Il a rappelé que le choix du site de Fatima pour ces festivités est symbolique en ce sens qu’au mois d’octobre 2015, des événements douloureux ont endeuillé ce quartier.
Il a aussi spécifié qu’en matière des droits de l’homme, les défenseurs ne doivent pas donner l’impression qu’ils sont résignés en attendant que le cortège des victimes augmente.
Il est à noter que cette mobilisation a réuni les victimes, les défenseurs des droits de l’homme et les victimes des destructions et des tueries enregistrées lors du conflit armé qui a secoué le pays depuis le renversement du président François Bozizé le 24 mars 2013.