POLITIQUE
L’objectif de la Journée mondiale de la santé, célébrée le 7 avril de chaque année, est à la fois de réfléchir profondément sur les malades du diabète, ce qui se présente comme étant un problème majeur de santé publique et aussi de commémorer le 68ème anniversaire de la création de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Par rapport au thème de la journée cette année qui est « vaincre le diabète » et qui a comme slogan « Soyez plus fort que le diabète », Jérôme Zaofi a soutenu que le moment est opportun pour de grands plaidoyer afin de d’attirer l’attention sur la situation alarmante des diabétiques de Centrafrique.
Il a fait remarquer que l’unique centre de référence de Bangui n’a qu’un seul médecin pour tous le pays. En outre, les molécules telles que les hypoglycémiants, notamment l’insuline, les antidiabétiques oraux et les examens complémentaires de diabète coûtent très chers.
Il a déploré la destruction des stocks des hypoglycémiants souvent arrivés tard sinon à expiration, provoquant la rupture des médicaments qui occasionnent souvent la mort des diabétiques membres de l’ADC, d’où sa recommandation pour que l’Etat centrafricain subventionne les molécules antidiabétiques oraux ou injectables, afin de les rendre disponibles à tout moment.
Le représentant de l’OMS, Michel Yao, a quant à lui présenté les caractéristiques de diabète de type 1 basés sur la production insuffisante d’insuline par organisme. Le diabète de type 2 résulte, selon lui, d’une mauvaise utilisation de l’insuline dans le corps humain.
Il a souligné que la mauvaise alimentation, le manque d’exercice physique, le tabagisme, l’usage nocif d’alcool, l’obésité et le surpoids représentent les facteurs du diabète de type 2. C’est pourquoi, il a conseillé aux personnes qui n’ont aucune idée sur leur taux de glycémie d’aller se faire préalablement diagnostiquer dans le but de revoir le comportement alimentaire, surtout dans le domaine du sucre et des aliments gras.
Pour la circonstance, une marche a été conduite, de la Place des Nations Unies au Pk 0 et du PK 0 au Ministère de la Santé Publique, organisée conjointement avec l’OMS pour sensibiliser la population sur les conséquences du diabète que sont : la cécité, l’accident vasculaire cérébral (AVC), l’insuffisance rénal, l’amputation des membres etc.
Il convient de noter que l’OMS prévoit qu’en 2030, le diabète sera la 7ème cause de décès dans le monde si rien n’est fait pour ralentir sa croissance actuelle.
Par rapport au thème de la journée cette année qui est « vaincre le diabète » et qui a comme slogan « Soyez plus fort que le diabète », Jérôme Zaofi a soutenu que le moment est opportun pour de grands plaidoyer afin de d’attirer l’attention sur la situation alarmante des diabétiques de Centrafrique.
Il a fait remarquer que l’unique centre de référence de Bangui n’a qu’un seul médecin pour tous le pays. En outre, les molécules telles que les hypoglycémiants, notamment l’insuline, les antidiabétiques oraux et les examens complémentaires de diabète coûtent très chers.
Il a déploré la destruction des stocks des hypoglycémiants souvent arrivés tard sinon à expiration, provoquant la rupture des médicaments qui occasionnent souvent la mort des diabétiques membres de l’ADC, d’où sa recommandation pour que l’Etat centrafricain subventionne les molécules antidiabétiques oraux ou injectables, afin de les rendre disponibles à tout moment.
Le représentant de l’OMS, Michel Yao, a quant à lui présenté les caractéristiques de diabète de type 1 basés sur la production insuffisante d’insuline par organisme. Le diabète de type 2 résulte, selon lui, d’une mauvaise utilisation de l’insuline dans le corps humain.
Il a souligné que la mauvaise alimentation, le manque d’exercice physique, le tabagisme, l’usage nocif d’alcool, l’obésité et le surpoids représentent les facteurs du diabète de type 2. C’est pourquoi, il a conseillé aux personnes qui n’ont aucune idée sur leur taux de glycémie d’aller se faire préalablement diagnostiquer dans le but de revoir le comportement alimentaire, surtout dans le domaine du sucre et des aliments gras.
Pour la circonstance, une marche a été conduite, de la Place des Nations Unies au Pk 0 et du PK 0 au Ministère de la Santé Publique, organisée conjointement avec l’OMS pour sensibiliser la population sur les conséquences du diabète que sont : la cécité, l’accident vasculaire cérébral (AVC), l’insuffisance rénal, l’amputation des membres etc.
Il convient de noter que l’OMS prévoit qu’en 2030, le diabète sera la 7ème cause de décès dans le monde si rien n’est fait pour ralentir sa croissance actuelle.
