le chef de l'etat François Bozizé Yangouvonda à l'ouverture de la 3e assemblée générale du Cnls
« C'est une tâche capitale pour le gouvernement de tout faire pour que la lutte ne soit plus des efforts épars sans cohérence ni harmonie entre les contributions des divers intervenants", a déclaré le Président de la République, à l’ouverture de la 3e assemblée générale du Comité national de lutte contre le Sida (Cnls).
François Bozizé a également instruit les préfets de « veiller » à ce que les « villages les plus reculés » aient « leur plan d'action et d'opération ».
Le président du groupe thématique Onusida, M. Toby Lanzer a affirmé pour sa part que « grâce à la nouvelle stratégie » mise en place par les autorités centrafricaines pour lutter contre le VIH, « les partenaires au développement se montreront encore plus engagés », promettant que « la proposition de la République Centrafricaine qui sera soumise au sixième round du fonds mondial recevra un écho favorable ».
Il a par ailleurs indiqué que le plan cadre des Nations unies pour l’aide au développement (Undaf) pour la période 2007-2010 a retenu "le Vih/Sida comme l’un des trois axes majeurs de la coopération."
« Notre vœu le plus sincère est que le vih/Sida recule rapidement grâce aux efforts conjugués de tous les membres du comité national de lutte contre le vih/sida » a-t-il ajouté.
Citant le rapport de l’Onusida pour l’année 2005, le coordonnateur du secrétariat technique du Cnls, Jean Willybiro Sako, a révélé que le taux de prévalence de l’infection à Vih en Centrafrique « serait estimé à 10,7% » contre 13,5% il y a deux ans.
"Nous voulons espérer que le passage de 13,5% à 10,7% constitue l'arrêt de la progression de la maladie et une amorce durable de la rduction de la propagation de l'épidémie grâce à la réponse nationale qui se développe de plaus en plus", a affirmé M. Sako.
Le Coordonnateur du Cnls préfère toutefois attendre les résultats d'une enquête actuellement en cours sur l'ensemble du territoire national pour être fixé.
Placé sous la présidence du chef de l’Etat, Le Cnls a tenu sa première assemblée générale en juillet 2001, alors que le taux de prévalence de l'infection était d’environ 15%, faisant de la République Centrafricaine le pays le plus touché en Afrique centrale.
François Bozizé a également instruit les préfets de « veiller » à ce que les « villages les plus reculés » aient « leur plan d'action et d'opération ».
Le président du groupe thématique Onusida, M. Toby Lanzer a affirmé pour sa part que « grâce à la nouvelle stratégie » mise en place par les autorités centrafricaines pour lutter contre le VIH, « les partenaires au développement se montreront encore plus engagés », promettant que « la proposition de la République Centrafricaine qui sera soumise au sixième round du fonds mondial recevra un écho favorable ».
Il a par ailleurs indiqué que le plan cadre des Nations unies pour l’aide au développement (Undaf) pour la période 2007-2010 a retenu "le Vih/Sida comme l’un des trois axes majeurs de la coopération."
« Notre vœu le plus sincère est que le vih/Sida recule rapidement grâce aux efforts conjugués de tous les membres du comité national de lutte contre le vih/sida » a-t-il ajouté.
Citant le rapport de l’Onusida pour l’année 2005, le coordonnateur du secrétariat technique du Cnls, Jean Willybiro Sako, a révélé que le taux de prévalence de l’infection à Vih en Centrafrique « serait estimé à 10,7% » contre 13,5% il y a deux ans.
"Nous voulons espérer que le passage de 13,5% à 10,7% constitue l'arrêt de la progression de la maladie et une amorce durable de la rduction de la propagation de l'épidémie grâce à la réponse nationale qui se développe de plaus en plus", a affirmé M. Sako.
Le Coordonnateur du Cnls préfère toutefois attendre les résultats d'une enquête actuellement en cours sur l'ensemble du territoire national pour être fixé.
Placé sous la présidence du chef de l’Etat, Le Cnls a tenu sa première assemblée générale en juillet 2001, alors que le taux de prévalence de l'infection était d’environ 15%, faisant de la République Centrafricaine le pays le plus touché en Afrique centrale.