Cette mise en garde s’adresse aux opérateurs économiques qui tenteraient de faire de la rétention de stocks pour spéculer en augmentant les prix des produits de premières nécessité comme la farine de blé, le sucre le sel, le ciment et le fer à béton, a précisé Mahamat Yacoub Taïb au cours de cette rencontre destinée à un échange avec les opérateurs économiques.
La mise en garde du ministre concerne également ceux qui tenteront de mettre des produits sur le marché sans passer par l’homologation, et qui s’exposeront, de ce fait, à des sanctions administratives, conformément aux dispositions de la loi numéro 16.006 du 30 décembre 2016 portant code du commerce en République Centrafricaine.
La mise en garde du ministre Mahamat Yacoub Taïb intervient près de quinze jours après une opération de la force de la MINUSCA destinée à chasser de Zoukombo, près de Bouar (452 km à l’ouest de Bangui) des hommes armés du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC) qui avaient provoqué une hausse des prix en bloquant le corridor Bangui-Garoua Mboulaï, principal axe d’importation de la République centrafricaine depuis la ville de Douala, au Cameroun.
Il faut rappeler que cette rencontre a regroupé les responsables des sociétés importatrices et des associations de consommateurs.
La mise en garde du ministre concerne également ceux qui tenteront de mettre des produits sur le marché sans passer par l’homologation, et qui s’exposeront, de ce fait, à des sanctions administratives, conformément aux dispositions de la loi numéro 16.006 du 30 décembre 2016 portant code du commerce en République Centrafricaine.
La mise en garde du ministre Mahamat Yacoub Taïb intervient près de quinze jours après une opération de la force de la MINUSCA destinée à chasser de Zoukombo, près de Bouar (452 km à l’ouest de Bangui) des hommes armés du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC) qui avaient provoqué une hausse des prix en bloquant le corridor Bangui-Garoua Mboulaï, principal axe d’importation de la République centrafricaine depuis la ville de Douala, au Cameroun.
Il faut rappeler que cette rencontre a regroupé les responsables des sociétés importatrices et des associations de consommateurs.