L’enjeu de cet appel vise à sensibiliser ses collaborateurs à donner le meilleur d’eux-mêmes afin de redresser la situation financière du pays en chute libre depuis la prise de pouvoir de Bangui par la coalition Séléka.
Ce n’est un secret pour personne, a fait remarquer le membre du gouvernement. Le changement politique intervenu le 24 mars dernier en République Centrafricaine a été accompagné par des actes des pillages, de destructions de biens publics et privés, de vandalismes. Partant, le tissu social et économique a été sérieusement affecté.
Au regard de ce tableau sombre, le Ministre Mbrémaïdou a déploré les difficultés pour atteindre les objectifs escomptés, d’après les prévisions. A titre d’exemple, le ministre des Finances a démontré que l’Etat a obtenu seulement 1 milliards au lieu de 4 milliards des recettes prévu pour le mois de mars. Alors que les dépenses mensuelles de l’Etat centrafricain varient entre 7 à 8 milliards.
Pour étayer son argumentaire, M. Mbrémaïdou Christophe s’est appesanti sur la destruction des unités de production censées pourvoir les caisses publiques. Il a émis le vœu que la sécurité soit rétablie afin de permettre la relance de l’économie de la RCA.
Afin de permettre à l’Etat de disposer des ressources nécessaires à ses charges régaliennes, au nom du gouvernement, le ministre Christophe Mbrémaïdou a déjà envisagé un Collectif budgétaire au Conseil National de Transition en vue de revoir en baisse les dépenses de l’Etat.
Ce n’est un secret pour personne, a fait remarquer le membre du gouvernement. Le changement politique intervenu le 24 mars dernier en République Centrafricaine a été accompagné par des actes des pillages, de destructions de biens publics et privés, de vandalismes. Partant, le tissu social et économique a été sérieusement affecté.
Au regard de ce tableau sombre, le Ministre Mbrémaïdou a déploré les difficultés pour atteindre les objectifs escomptés, d’après les prévisions. A titre d’exemple, le ministre des Finances a démontré que l’Etat a obtenu seulement 1 milliards au lieu de 4 milliards des recettes prévu pour le mois de mars. Alors que les dépenses mensuelles de l’Etat centrafricain varient entre 7 à 8 milliards.
Pour étayer son argumentaire, M. Mbrémaïdou Christophe s’est appesanti sur la destruction des unités de production censées pourvoir les caisses publiques. Il a émis le vœu que la sécurité soit rétablie afin de permettre la relance de l’économie de la RCA.
Afin de permettre à l’Etat de disposer des ressources nécessaires à ses charges régaliennes, au nom du gouvernement, le ministre Christophe Mbrémaïdou a déjà envisagé un Collectif budgétaire au Conseil National de Transition en vue de revoir en baisse les dépenses de l’Etat.