Cette conférence de presse a pour objectif d’échanger avec les professionnels des médias sur le rôle que la justice est appelée à jouer dans un contexte de crise présentement en République Centrafricaine et les actions à mener dans le contexte actuelle de transition politique.
M. Arsène Sendé a indexé le régime défunt de François Bozizé qui avait érigé l’impunité en système de gouvernance. Ce qui, de facto, a engendré l’affaiblissement sinon le dysfonctionnement du système judiciaire.
Les attaques contre les civils y compris les pillages et les destructions des biens, les représailles et punitions collectives, les exécutions sommaires et les mauvais traitements imputables aux forces de sécurité d’alors et mentionnés dans le rapport de Human Rights Watch de 2007, n’ont jamais été punies, tout simplement parce que ce régime défunt y faisait ombrage et refuse de présenter ou de remettre leurs auteurs à la justice, a précisé M. Arsène Sendé.
Afin de juguler les difficultés liées aux procédures d’enquêtes causées par la dislocation des unités de police judiciaire, le ministre Arsène Séndé a fait allusion au décret n°13.337 du 10 septembre 2013 portant création d’une Unité mobile de police judiciaire qui est un organe d’enquête judicaire territorialement compétent dans les ressorts des tribunaux de Grande instance tant de Bangui que de Bimbo.
Selon lui, la finalité des actions de cette unité vise la lutte contre l’impunité dès lors que les enquêteurs doivent être prompts, impartiaux et transparents dan leurs procédures.
Pour permettre à la justice d’être opérationnelle à l’intérieur du pays, le ministre de la Justice Garde des sceaux et de la reforme Judicaire, Arsène Séndé, a exhorté les partenaires au développement de la République Centrafricaine à renforcer les capacités opérationnelles de cette administration.
M. Arsène Sendé a indexé le régime défunt de François Bozizé qui avait érigé l’impunité en système de gouvernance. Ce qui, de facto, a engendré l’affaiblissement sinon le dysfonctionnement du système judiciaire.
Les attaques contre les civils y compris les pillages et les destructions des biens, les représailles et punitions collectives, les exécutions sommaires et les mauvais traitements imputables aux forces de sécurité d’alors et mentionnés dans le rapport de Human Rights Watch de 2007, n’ont jamais été punies, tout simplement parce que ce régime défunt y faisait ombrage et refuse de présenter ou de remettre leurs auteurs à la justice, a précisé M. Arsène Sendé.
Afin de juguler les difficultés liées aux procédures d’enquêtes causées par la dislocation des unités de police judiciaire, le ministre Arsène Séndé a fait allusion au décret n°13.337 du 10 septembre 2013 portant création d’une Unité mobile de police judiciaire qui est un organe d’enquête judicaire territorialement compétent dans les ressorts des tribunaux de Grande instance tant de Bangui que de Bimbo.
Selon lui, la finalité des actions de cette unité vise la lutte contre l’impunité dès lors que les enquêteurs doivent être prompts, impartiaux et transparents dan leurs procédures.
Pour permettre à la justice d’être opérationnelle à l’intérieur du pays, le ministre de la Justice Garde des sceaux et de la reforme Judicaire, Arsène Séndé, a exhorté les partenaires au développement de la République Centrafricaine à renforcer les capacités opérationnelles de cette administration.