POLITIQUE
Le but du symposium est de permettre aux femmes d’identifier ensemble leur priorité à inscrire à l’agenda du Forum de Bangui en tenant compte des rôles qu’elles doivent jouer en tant qu’actrice du développement.
S’adressant aux femmes, le ministre d’Etat, Me Aristide Sokambi a déclaré que l’heure n’est plus aux intérêts égoïstes au clivage ethnique, politique, culturelle, économique. La réconciliation doit commencer par les femmes en qualité de première éducatrice de la société.
Le ministre Sokambi reconnait que les recommandations qui seront formulées lors de ce symposium impacteront sur la situation sociales des différentes catégories de la population.
Durant cinq jours, plusieurs thématiques seront développés et porteront entre autres sur les techniques de plaidoyers et de négociations, des stratégies nationales en matière de réconciliation, les différentes résolutions des Nations-Unies y compris la résolution 13/25 qui portent sur la femme, la paix et la sécurité.
Pour la ministre des Affaires Sociales, de la Promotion du Genre et de l’Action Humanitaire, Eugénie Yarafa, la rencontre qui s’ouvre est d’autant plus déterminante, car elle doit impacter sur notre capacité à transcender nos différends et assumer nos responsabilités en tant que citoyennes à part entière de la Centrafrique.
Par-ailleurs, le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies, Chef de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations-Unies pour la Stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA), le Général Babacar Gaye a rappelé que la Résolution 21/49 prescrit à la MINUSCA d’appuyer le gouvernement de transition dans la promotion de participation des femmes dans le processus de restauration de la paix et la sécurité, du dialogue politique et de la reconstruction nationale
S’adressant aux femmes, le ministre d’Etat, Me Aristide Sokambi a déclaré que l’heure n’est plus aux intérêts égoïstes au clivage ethnique, politique, culturelle, économique. La réconciliation doit commencer par les femmes en qualité de première éducatrice de la société.
Le ministre Sokambi reconnait que les recommandations qui seront formulées lors de ce symposium impacteront sur la situation sociales des différentes catégories de la population.
Durant cinq jours, plusieurs thématiques seront développés et porteront entre autres sur les techniques de plaidoyers et de négociations, des stratégies nationales en matière de réconciliation, les différentes résolutions des Nations-Unies y compris la résolution 13/25 qui portent sur la femme, la paix et la sécurité.
Pour la ministre des Affaires Sociales, de la Promotion du Genre et de l’Action Humanitaire, Eugénie Yarafa, la rencontre qui s’ouvre est d’autant plus déterminante, car elle doit impacter sur notre capacité à transcender nos différends et assumer nos responsabilités en tant que citoyennes à part entière de la Centrafrique.
Par-ailleurs, le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations-Unies, Chef de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations-Unies pour la Stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA), le Général Babacar Gaye a rappelé que la Résolution 21/49 prescrit à la MINUSCA d’appuyer le gouvernement de transition dans la promotion de participation des femmes dans le processus de restauration de la paix et la sécurité, du dialogue politique et de la reconstruction nationale
