Le président de la République, Faustin-Archange Touadéra, a fait de la réduction accélérée des mortalités maternelle et infantile sa principale priorité dans le domaine de la santé et du développement, a expliqué le ministre Pierre Somsé.
Le chef du département de la Santé a soutenu que ce décret a été pris pour mettre en place des mesures concrètes au profit des groupes cibles, notamment les femmes enceintes, allaitantes, en période d’accouchement, les enfants de moins de cinq ans et les femmes victimes de violences sexuelles basées sur le genre.
« Cette gratuité n’est pas permanente, c’est une mesure de transition pour soulager les familles pendant cette période de soudure entre la crise humanitaire et la paix retrouvée, se traduisant ainsi par l’amélioration du pouvoir d’achat des populations », a-t-il relevé.
Pour que la gratuité soit effective, il faudrait que les cas de violences sexuelles et celles basées sur le genre soient dénoncées, pour une meilleure prise en charge dans le but de sauver la vie de la femme, de sauver la santé mentale afin qu’elle ait une maternité saine, a précisé Pierre Somsé.
Selon lui, les soins qui seront fournis, vont se faire suivant les modalités précises qui sont entrain d’être élaborées.
Il a par ailleurs exhorté les femmes enceintes à respecter les directives, en se rendant dans les centres de santé pour les examens prénataux, à raison de huit consultations pendant la période de grossesse.
Il convient de rappeler que la semaine dernière, le Chef de l’Etat, conformément à son engagement de faire de la santé publique son cheval de bataille, a pris un décret portant la gratuité des soins dans les formations sanitaires publiques.
La mise au point de Pierre Somsé intervient 48 heures après la publication d'un décret instituant la gratuité des soins de santé dans les formations sanitaires publiques et conventionnées en faveur des enfants de moins de cinq ans, des femmes enceintes, allaitantes et (ou)victimes des violences basées sur le genre.
Le chef du département de la Santé a soutenu que ce décret a été pris pour mettre en place des mesures concrètes au profit des groupes cibles, notamment les femmes enceintes, allaitantes, en période d’accouchement, les enfants de moins de cinq ans et les femmes victimes de violences sexuelles basées sur le genre.
« Cette gratuité n’est pas permanente, c’est une mesure de transition pour soulager les familles pendant cette période de soudure entre la crise humanitaire et la paix retrouvée, se traduisant ainsi par l’amélioration du pouvoir d’achat des populations », a-t-il relevé.
Pour que la gratuité soit effective, il faudrait que les cas de violences sexuelles et celles basées sur le genre soient dénoncées, pour une meilleure prise en charge dans le but de sauver la vie de la femme, de sauver la santé mentale afin qu’elle ait une maternité saine, a précisé Pierre Somsé.
Selon lui, les soins qui seront fournis, vont se faire suivant les modalités précises qui sont entrain d’être élaborées.
Il a par ailleurs exhorté les femmes enceintes à respecter les directives, en se rendant dans les centres de santé pour les examens prénataux, à raison de huit consultations pendant la période de grossesse.
Il convient de rappeler que la semaine dernière, le Chef de l’Etat, conformément à son engagement de faire de la santé publique son cheval de bataille, a pris un décret portant la gratuité des soins dans les formations sanitaires publiques.
La mise au point de Pierre Somsé intervient 48 heures après la publication d'un décret instituant la gratuité des soins de santé dans les formations sanitaires publiques et conventionnées en faveur des enfants de moins de cinq ans, des femmes enceintes, allaitantes et (ou)victimes des violences basées sur le genre.