Selon ministre Pierre Somsé cette enquête intitulée : Cross-sectional survery in Central African republic finds mortality……. Est un véritable désastre car elle estime que le taux brut de mortalité en 2022 qui est de 1,31% est passé à 2,19% dans les zones non-contrôlées par le gouvernement et dans les zones contrôlées par le gouvernement, le taux brut qui est de 1,31% est passé à 1,56%.
Ministre Somsé a expliqué la conclusion de l’article a révélé que la mortalité mesurée dans cette enquête nationale est plus de quatre fois supérieure aux estimations des Nations unies, plus de deux fois supérieure à celle rapportée pour n’importe quel pays du monde, et bien au-delà du seuil d’urgence.
« Ces taux tranchent avec les résultats de l’enquête SMART, réalisée en RCA par l’ICASEES, du 08 septembre au 22 octobre 2022, qui a révélé des résultats suivants : Les taux de mortalité rétrospectifs observés au niveau sont de 0,62 décès par 10.000 personnes par jour » a déclaré le ministre Pierre Somsé.
Le membre du gouvernement a déclaré l’irrecevabilité des résultats et de la conclusion de cette enquête car ce rejet est fondé sur des procédures totalement biaisées.
Le Docteur Pierre Somsé a souligné que les auteurs de cet article : Karuma Baderha Augustin Gang, Jennifer O’keeffe, Les Roberts et autres, n’ont pas obtenu l’approbation du comité scientifique de l’université de Bangui, mais plutôt sur l’approbation du comité national d’éthique du ministère de la santé de la République Démocratique du Congo.
« Les auteurs n’ont obtenu ni le visa statistique de l’ICASEES ni l’autorisation d’étude du ministère de la santé et de la population de chez nous » a expliqué Docteur Somsé.
S’agissant de la question du fonds de l’article, le ministre a affirmé que les auteurs ont utilisé comme base de sondage, les images satellitaires, ce qui peut introduire des biais de sélection. En plus ils admettent plus limités à leur enquête qui peut avoir eu un impact sur les résultats.
Selon le ministre, ce qui est encore plus grave et qu’il qualifie de campagne de dénigrement, c’est le fait que les auteurs épinglent les troupes Russes (appelées Wagner) comme l’un des principaux facteurs de mortalité sans en donner les évidences.
Par ailleurs, l’article ne mentionne pas l’identification par les ménages des troupes Russes comme cause de mortalité, alors que les causes de mortalité ont été citées par les ménages selon le protocole de l’interview, en mentionnant dans leurs analyses des perspectives personnelles marquées par un biais géopolitique et géostratégique.
Le ministre de la santé a déploré l’instrumentalisation de la science et de la santé à des fins géopolitiques et géostratégiques et a déclaré que le gouvernement prendra des dispositions appropriées pour obtenir l’annulation de cette publication et recommande les données validées par l’ICASEES et le système des Nations Unies.
Notons que l’article a été publié le 18 avril 2023 sur https://doi.or, Conflict and Health ;Mortality, Central African Republic, UN statistics,Humanitary crisis, violence.
Ministre Somsé a expliqué la conclusion de l’article a révélé que la mortalité mesurée dans cette enquête nationale est plus de quatre fois supérieure aux estimations des Nations unies, plus de deux fois supérieure à celle rapportée pour n’importe quel pays du monde, et bien au-delà du seuil d’urgence.
« Ces taux tranchent avec les résultats de l’enquête SMART, réalisée en RCA par l’ICASEES, du 08 septembre au 22 octobre 2022, qui a révélé des résultats suivants : Les taux de mortalité rétrospectifs observés au niveau sont de 0,62 décès par 10.000 personnes par jour » a déclaré le ministre Pierre Somsé.
Le membre du gouvernement a déclaré l’irrecevabilité des résultats et de la conclusion de cette enquête car ce rejet est fondé sur des procédures totalement biaisées.
Le Docteur Pierre Somsé a souligné que les auteurs de cet article : Karuma Baderha Augustin Gang, Jennifer O’keeffe, Les Roberts et autres, n’ont pas obtenu l’approbation du comité scientifique de l’université de Bangui, mais plutôt sur l’approbation du comité national d’éthique du ministère de la santé de la République Démocratique du Congo.
« Les auteurs n’ont obtenu ni le visa statistique de l’ICASEES ni l’autorisation d’étude du ministère de la santé et de la population de chez nous » a expliqué Docteur Somsé.
S’agissant de la question du fonds de l’article, le ministre a affirmé que les auteurs ont utilisé comme base de sondage, les images satellitaires, ce qui peut introduire des biais de sélection. En plus ils admettent plus limités à leur enquête qui peut avoir eu un impact sur les résultats.
Selon le ministre, ce qui est encore plus grave et qu’il qualifie de campagne de dénigrement, c’est le fait que les auteurs épinglent les troupes Russes (appelées Wagner) comme l’un des principaux facteurs de mortalité sans en donner les évidences.
Par ailleurs, l’article ne mentionne pas l’identification par les ménages des troupes Russes comme cause de mortalité, alors que les causes de mortalité ont été citées par les ménages selon le protocole de l’interview, en mentionnant dans leurs analyses des perspectives personnelles marquées par un biais géopolitique et géostratégique.
Le ministre de la santé a déploré l’instrumentalisation de la science et de la santé à des fins géopolitiques et géostratégiques et a déclaré que le gouvernement prendra des dispositions appropriées pour obtenir l’annulation de cette publication et recommande les données validées par l’ICASEES et le système des Nations Unies.
Notons que l’article a été publié le 18 avril 2023 sur https://doi.or, Conflict and Health ;Mortality, Central African Republic, UN statistics,Humanitary crisis, violence.