« Le 22 août 2008, un cas de fièvre jaune a été signalé dans la sous préfecture de Boda chez un patient de sexe masculin âgé de 32 ans. Un prélèvement sanguin a été effectué et acheminé à l’Institut Pasteur de Bangui qui a détecté qu’il s’agissait de la fièvre jaune, en date du 27 août 2008. Ce résultat a été confirmé par l’Institut Pasteur de Dakar en date du 12 septembre 2008 », note le communiqué.
« Suite à une investigation menée par le service de la surveillance épidémiologique du ministère de la Santé publique, de la population et de lutte contre le sida, d’autres prélèvements sanguins sont effectués dans le village et les sérums ont été analysés à l’Institut Pasteur de Bangui. Aucun cas nouveau n’a été diagnostiqué, sauf que le sérum du patient est resté positif », ajoute le communiqué.
A cet effet, le ministre de la Santé M.Faustin Ntelnoumbi, a invité la population des zones à risque, à « évacuer sans délai vers les structures compétentes de soins », toute personne présentant les signes fortement évocateurs ou symptômes de fièvre jaune.
M. Faustin Ntelnoumbi, a demande également aux responsables sanitaires et aux autorités administratives des zones à risque, de mettre en œuvre toutes les actions efficaces et urgentes qui s’imposent afin de traiter les malades et de contrôler la progression de l’épidémie.
Enfin, il exhorte la communauté internationale à apporter l’appui nécessaire aux actions en cours, afin de stopper cette épidémie, et de mettre à contribution leur expertise, en vue de renforcer la surveillance de la fièvre jaune et de toute les autres maladies épidémique potentielles en Centrafrique.
« Suite à une investigation menée par le service de la surveillance épidémiologique du ministère de la Santé publique, de la population et de lutte contre le sida, d’autres prélèvements sanguins sont effectués dans le village et les sérums ont été analysés à l’Institut Pasteur de Bangui. Aucun cas nouveau n’a été diagnostiqué, sauf que le sérum du patient est resté positif », ajoute le communiqué.
A cet effet, le ministre de la Santé M.Faustin Ntelnoumbi, a invité la population des zones à risque, à « évacuer sans délai vers les structures compétentes de soins », toute personne présentant les signes fortement évocateurs ou symptômes de fièvre jaune.
M. Faustin Ntelnoumbi, a demande également aux responsables sanitaires et aux autorités administratives des zones à risque, de mettre en œuvre toutes les actions efficaces et urgentes qui s’imposent afin de traiter les malades et de contrôler la progression de l’épidémie.
Enfin, il exhorte la communauté internationale à apporter l’appui nécessaire aux actions en cours, afin de stopper cette épidémie, et de mettre à contribution leur expertise, en vue de renforcer la surveillance de la fièvre jaune et de toute les autres maladies épidémique potentielles en Centrafrique.