Ce programme vise à renforcer les droits des jeunes de 10 à 14 ans afin de mener des activités en matière de droit en santé sexuelle et reproductive en vue de créer les conditions favorables pour l’accès des jeunes au service de santé de la reproduction.
S'exprimant lors du lancement de ce projet, le Dr. Fernande Ndjengbot a indiqué que le programme Jeune S3 s’articule autour de quatre axes, à savoir le renforcement de la voix des jeunes à tous les niveaux de décision ; le renforcement des actions d’éducation sexuelle en faveur des jeunes ;
la relance des soins de santé sexuelle et reproductive en faveur des jeunes et le renforcement du plaidoyer à tous les niveaux.
La Ministre de la Santé a souligné que dans le cadre stratégique national de lutte contre le sida 2007-2020, le gouvernement a mis l’accent sur la prévention et a confirmé la volonté des autorités centrafricaines de promouvoir le respect des droits des adolescents en matière de santé sexuelle et reproductive.
Elle a rappelé que, selon les résultats de l’enquête mics 2010, le taux de séroprévalence du VIH/sida est passé de 4,9 % à 2,8 %. Parmi les jeunes, ce taux s'établit à 0,7 % chez les garçons et 2, 8% chez les filles de 15 ans à 24 ans.
L'enquête révèle, par ailleurs, qu’il existe une insuffisance d’éducation sexuelle au niveau des établissements scolaires.
Au regard des données statistiques, Fernande Ndjengbot a conclu que « la prévalence encore élevée du sida et les pratiques néfastes à la santé des jeunes restent une priorité pour le gouvernement centrafricain ».
Il convient de noter que la Ville de Bangui et de la préfecture de la Lobaye sont les localités pilote de ce Programme Jeune S3 dont les partenaires techniques et financiers sont le gouvernement néerlandais, l'ONG population service international Europe (PSI) sous la coordination de l’ONG Cordaid Centrafrique, travaillant en synergie dans quatre pays africains, à savoir le Bénin, le Cameroun, la République Démocratique du Congo et la République Centrafricaine.
S'exprimant lors du lancement de ce projet, le Dr. Fernande Ndjengbot a indiqué que le programme Jeune S3 s’articule autour de quatre axes, à savoir le renforcement de la voix des jeunes à tous les niveaux de décision ; le renforcement des actions d’éducation sexuelle en faveur des jeunes ;
la relance des soins de santé sexuelle et reproductive en faveur des jeunes et le renforcement du plaidoyer à tous les niveaux.
La Ministre de la Santé a souligné que dans le cadre stratégique national de lutte contre le sida 2007-2020, le gouvernement a mis l’accent sur la prévention et a confirmé la volonté des autorités centrafricaines de promouvoir le respect des droits des adolescents en matière de santé sexuelle et reproductive.
Elle a rappelé que, selon les résultats de l’enquête mics 2010, le taux de séroprévalence du VIH/sida est passé de 4,9 % à 2,8 %. Parmi les jeunes, ce taux s'établit à 0,7 % chez les garçons et 2, 8% chez les filles de 15 ans à 24 ans.
L'enquête révèle, par ailleurs, qu’il existe une insuffisance d’éducation sexuelle au niveau des établissements scolaires.
Au regard des données statistiques, Fernande Ndjengbot a conclu que « la prévalence encore élevée du sida et les pratiques néfastes à la santé des jeunes restent une priorité pour le gouvernement centrafricain ».
Il convient de noter que la Ville de Bangui et de la préfecture de la Lobaye sont les localités pilote de ce Programme Jeune S3 dont les partenaires techniques et financiers sont le gouvernement néerlandais, l'ONG population service international Europe (PSI) sous la coordination de l’ONG Cordaid Centrafrique, travaillant en synergie dans quatre pays africains, à savoir le Bénin, le Cameroun, la République Démocratique du Congo et la République Centrafricaine.