Il a fait cette demande mardi 15 janvier 2008 lors d’une conférence de presse, en son cabinet de travail, en présence du ministre de l’Education nationale, de l’Alphabétisation, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, M. Charles Armel Doubane, du ministre de la Fonction Publique, M. Jacques Boti, de celui des Postes et Télécommunications, chargé des Nouvelles Technologies, M. Fidèle Gouandjika et du ministre de la Communication, M. Aurélien Simplice Zingas.
M. Mbaikoua a rappelé les revendications qui ont fait l’objet des négociations tenues les 2 et 3 janvier derniers à la Représentation de l’ASECNA à Bangui et les réponses qui ont été apportées à chaque point de revendications.
« Le gouvernement reconnaît la légitimité de la grève lancée par les centrales syndicales, mais le gouvernement se refuse de se lancer dans des propos démagogiques vis-à-vis de ses partenaires sociaux », a déclaré, M. Mbaikoua, signalant que le gouvernement n’a pas fermé la porte à la poursuite des négociations.
La proposition de M. Mbaïkoua intervient alors qu’on enregistre des signes de tension, avec des manifestations organisées par les élèves du secondaire et une campagne d’explication menée auprès des institutions de la République et du corps diplomatique par les leaders syndicaux, qui prévoient un meeting syndical le 19 janvier.
Pour M. Mbaïkoua, le gouvernement n’est pas opposé à cette campagne, qui pourrait également permettre à ses partenaires de prendre la mesure des difficultés auxquelles il se trouve confronté.
Il convient de rappeler que les revendications des syndicats concernent l’apurement total des 7 mois d’arriérés de salaires de l’année 2007, l’inscription effective au budget 2008 du déblocage partiel des effets financiers des avancements bloqués depuis 1986, la prise en charge des salaires du personnel de l’Office nationale des postes et de l’épargne par le budget de l’Etat, le paiement des 36 mois d’arriérés de salaires des deux précédents régimes et l’institution d’une caisse autonome des pensions de retraite.
Selon un communiqué publié à l’issue de 2 jours de négociations, le gouvernement a répondu qu’il était « dans l’impossibilité d’aller au-delà des efforts déjà consentis pour le paiement régulier des retards de salaires de l’actuel régime » et qu’il entendait « convoquer la partie syndicale en juillet 2008 à une concertation pour qu’ils examinent ensemble la santé financière de l’Etat dans l’optique de l’inscription du déblocage des salaires dans le budget de l’année en cours d’exécution à travers un collectif budgétaire ».
M. Mbaikoua a rappelé les revendications qui ont fait l’objet des négociations tenues les 2 et 3 janvier derniers à la Représentation de l’ASECNA à Bangui et les réponses qui ont été apportées à chaque point de revendications.
« Le gouvernement reconnaît la légitimité de la grève lancée par les centrales syndicales, mais le gouvernement se refuse de se lancer dans des propos démagogiques vis-à-vis de ses partenaires sociaux », a déclaré, M. Mbaikoua, signalant que le gouvernement n’a pas fermé la porte à la poursuite des négociations.
La proposition de M. Mbaïkoua intervient alors qu’on enregistre des signes de tension, avec des manifestations organisées par les élèves du secondaire et une campagne d’explication menée auprès des institutions de la République et du corps diplomatique par les leaders syndicaux, qui prévoient un meeting syndical le 19 janvier.
Pour M. Mbaïkoua, le gouvernement n’est pas opposé à cette campagne, qui pourrait également permettre à ses partenaires de prendre la mesure des difficultés auxquelles il se trouve confronté.
Il convient de rappeler que les revendications des syndicats concernent l’apurement total des 7 mois d’arriérés de salaires de l’année 2007, l’inscription effective au budget 2008 du déblocage partiel des effets financiers des avancements bloqués depuis 1986, la prise en charge des salaires du personnel de l’Office nationale des postes et de l’épargne par le budget de l’Etat, le paiement des 36 mois d’arriérés de salaires des deux précédents régimes et l’institution d’une caisse autonome des pensions de retraite.
Selon un communiqué publié à l’issue de 2 jours de négociations, le gouvernement a répondu qu’il était « dans l’impossibilité d’aller au-delà des efforts déjà consentis pour le paiement régulier des retards de salaires de l’actuel régime » et qu’il entendait « convoquer la partie syndicale en juillet 2008 à une concertation pour qu’ils examinent ensemble la santé financière de l’Etat dans l’optique de l’inscription du déblocage des salaires dans le budget de l’année en cours d’exécution à travers un collectif budgétaire ».