Selon M. Kiticki-Kouamba, qui a procédé à la restitution du sommet de Bucarest de septembre 2006, la mise en place de ce conseil permettrait de présenter des programmes cohérents à l’Organisation internationale de la Francophonie et favoriserait le financement de certaines activités du gouvernement par les bailleurs de fonds.
La ministre Déléguée aux Affaires étrangères, à l’intégration régionale et à la francophonie, Mme Marie Reine Hassein, a pour sa part rappelé que le Président François Bozizé a décidé de donner « un cachet tout particulier » au 37ème anniversaire de la Francophonie en baptisant le mois de mars « mois de la francophonie en Centrafrique ».
Elle a expliqué que le fait de donner un cachet particulier à cette célébration est une manière de rendre hommage à l’Organisation internationale de la Francophonie et plus particulièrement à son secrétaire général le Président Abdou Diouf, « pour son appui constant à la République Centrafricaine ».
Elle a ensuite rappelé que l’Oif a fait de la République Centrafricaine le deuxième pays post conflit après Haïti, en lui apportant un appui multiforme depuis le « sursaut patriotique » du 15 mars 2003 jusqu’au retour du pays à la légalité constitutionnelle en 2005.
« Le président Abdou Diouf a envoyé récemment en Centrafrique une mission de haut niveau conduite par le président Pierre Buyoya et dont les conclusions vont participer à la relance des Etats Généraux de la justice », a-t-elle fait remarquer.
Abordant la dimension culturelle de la Francophonie, Mme Hassein a déclaré que la célébration de cette journée internationale de la francophonie constitue une occasion « de manifester notre attachement à la langue française et les valeurs qu’elle véhicule (…) cette langue qui nous offre la chance formidable de communiquer par-delà les frontières et les océans ».
Selon elle, la francophonie défend les valeurs telles que la démocratie, le développement et l’expression de la diversité culturelle et linguistique. « Que cette journée soit pour vous tous une occasion également de garder à l’esprit que la langue française nous rassemble pour servir ses valeurs que sont la solidarité et la paix », a-t-elle ajouté.
Elle a également relevé que « pour nous Centrafricains, être francophone signifie partager un espace de solidarité dans laquelle nous nous épanouissons sans renoncer à ce que nous sommes fondamentalement ». C’est « adhérer à des valeurs portées par cette langue française qui a prouvé tout au long de son histoire qu’elle s’est construite comme l’angle de liberté, d’humanisme, de dialogue et de solidarité », a-t-elle poursuivi.
Elle a enfin expliqué que « cette adhésion à la famille francophone ne saurait signifier, pour autant, une renonciation à nos traditions, à notre langue nationale le sango, ainsi qu’aux langues locales qui font la richesse et la diversité de la culture centrafricaine ».
Il convient de rappeler que l’Oif, constituée aujourd’hui de 53 pays, a été créée à Niamey au Niger le 20 mars 1970 sous l’impulsion des présidents Léopold Sédar Senghor du Sénégal, Habib Bourguina de la Tunisie, Hamani Diori du Niger et du Prince Norodom Sihanouk du Cambodge, sous l’appellation d’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT), avant de devenir l’Organisation internationale de la Francophonie.
Elle est dirigée par un Secrétaire Général qui en est la clé de voûte et pour mission de promouvoir la démocratie, la paix, les droits de l’Homme et la diversité culturelle.
Le secrétaire général actuel de l’Oif est l’ancien président sénégalais Abdou Diouf, qui est à son deuxième mandat.
La ministre Déléguée aux Affaires étrangères, à l’intégration régionale et à la francophonie, Mme Marie Reine Hassein, a pour sa part rappelé que le Président François Bozizé a décidé de donner « un cachet tout particulier » au 37ème anniversaire de la Francophonie en baptisant le mois de mars « mois de la francophonie en Centrafrique ».
Elle a expliqué que le fait de donner un cachet particulier à cette célébration est une manière de rendre hommage à l’Organisation internationale de la Francophonie et plus particulièrement à son secrétaire général le Président Abdou Diouf, « pour son appui constant à la République Centrafricaine ».
Elle a ensuite rappelé que l’Oif a fait de la République Centrafricaine le deuxième pays post conflit après Haïti, en lui apportant un appui multiforme depuis le « sursaut patriotique » du 15 mars 2003 jusqu’au retour du pays à la légalité constitutionnelle en 2005.
« Le président Abdou Diouf a envoyé récemment en Centrafrique une mission de haut niveau conduite par le président Pierre Buyoya et dont les conclusions vont participer à la relance des Etats Généraux de la justice », a-t-elle fait remarquer.
Abordant la dimension culturelle de la Francophonie, Mme Hassein a déclaré que la célébration de cette journée internationale de la francophonie constitue une occasion « de manifester notre attachement à la langue française et les valeurs qu’elle véhicule (…) cette langue qui nous offre la chance formidable de communiquer par-delà les frontières et les océans ».
Selon elle, la francophonie défend les valeurs telles que la démocratie, le développement et l’expression de la diversité culturelle et linguistique. « Que cette journée soit pour vous tous une occasion également de garder à l’esprit que la langue française nous rassemble pour servir ses valeurs que sont la solidarité et la paix », a-t-elle ajouté.
Elle a également relevé que « pour nous Centrafricains, être francophone signifie partager un espace de solidarité dans laquelle nous nous épanouissons sans renoncer à ce que nous sommes fondamentalement ». C’est « adhérer à des valeurs portées par cette langue française qui a prouvé tout au long de son histoire qu’elle s’est construite comme l’angle de liberté, d’humanisme, de dialogue et de solidarité », a-t-elle poursuivi.
Elle a enfin expliqué que « cette adhésion à la famille francophone ne saurait signifier, pour autant, une renonciation à nos traditions, à notre langue nationale le sango, ainsi qu’aux langues locales qui font la richesse et la diversité de la culture centrafricaine ».
Il convient de rappeler que l’Oif, constituée aujourd’hui de 53 pays, a été créée à Niamey au Niger le 20 mars 1970 sous l’impulsion des présidents Léopold Sédar Senghor du Sénégal, Habib Bourguina de la Tunisie, Hamani Diori du Niger et du Prince Norodom Sihanouk du Cambodge, sous l’appellation d’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT), avant de devenir l’Organisation internationale de la Francophonie.
Elle est dirigée par un Secrétaire Général qui en est la clé de voûte et pour mission de promouvoir la démocratie, la paix, les droits de l’Homme et la diversité culturelle.
Le secrétaire général actuel de l’Oif est l’ancien président sénégalais Abdou Diouf, qui est à son deuxième mandat.