Cette somme est nécessaire à renforcer la protection des populations affectées et préserver la dignité humaine, en rétablissant l’accès aux services sociaux de base et aux mécanismes de subsistance.
La Ministre des Affaires sociales et de la Réconciliation nationale a précisé que ce plan de réponse humanitaire 2017-2019 arrive dans un contexte marqué par la détérioration de la situation sécuritaire, notamment au cours du deuxième semestre de l’année 2016, avec une multiplication des foyers de tension. Cette dégradation a généré de nouvelles urgences humanitaires et a exacerbé la vulnérabilité de plus de 70.00 nouveaux déplacés.
« Elle défie nos efforts de protection, de planification et entrave sérieusement l’accès humanitaire », a-t-elle ajouté.
Virginie M'baïkoua a réitéré la détermination du gouvernement à contribuer efficacement à la mobilisation de fonds pour sauver des vies en République Centrafricaine.
Par ailleurs, le Coordonnateur humanitaire par intérim, Michel Yao, a relevé que la conjoncture internationale était peu favorable pour le financement de l’action humanitaire en République Centrafricaine. De nouvelles crises surgissent ailleurs dans le monde et retiennent l’attention des bailleurs du fait de leur acuité et de leurs effets sur les populations civiles.
Il a déploré le fait qu’en 2016 le plan de réponse humanitaire d’un montant de 531.5 millions de dollars n’ait été financé qu’à hauteur de 36.2% en décembre 2016.
Un financement adéquat en 2017 permettra d’apporter une assistance alimentaire à 900.000 personnes, a-t-il estimé, expliquant que dans toute crise humanitaire, la sécurité alimentaire occupe le premier poste de dépense et qu'en 2017, 128,5 millions de dollars devraient être dédiés à cette priorité.
Avec les autorités, une campagne de plaidoyer est en cours pour mobiliser davantage les bailleurs autour de l’action humanitaire afin de faire en sorte que la RCA ne soit pas une crise oubliée ou négligée et que le financement soit à la hauteur des besoins, a souligné Michel Yao.
« Dans cette dynamique, une véritable synergie a été développée entre le plan de réponse humanitaire et la stratégie de Relèvement et de Consolidation de la paix en Centrafrique (RCPCA). L’objectif commun est de renforcer la capacité de résistance aux chocs et l’autonomie des communautés afin de passer progressivement de l’humanitaire au redressement », a conclu le Coordonnateur humanitaire par intérim.
Il est à noter que ce plan de réponse humanitaire 2017-2019 est lancé après la conférence des bailleurs de fonds sur la République Centrafricaine, qui s'est tenue à Bruxelles le 17 novembre 2016.
La Ministre des Affaires sociales et de la Réconciliation nationale a précisé que ce plan de réponse humanitaire 2017-2019 arrive dans un contexte marqué par la détérioration de la situation sécuritaire, notamment au cours du deuxième semestre de l’année 2016, avec une multiplication des foyers de tension. Cette dégradation a généré de nouvelles urgences humanitaires et a exacerbé la vulnérabilité de plus de 70.00 nouveaux déplacés.
« Elle défie nos efforts de protection, de planification et entrave sérieusement l’accès humanitaire », a-t-elle ajouté.
Virginie M'baïkoua a réitéré la détermination du gouvernement à contribuer efficacement à la mobilisation de fonds pour sauver des vies en République Centrafricaine.
Par ailleurs, le Coordonnateur humanitaire par intérim, Michel Yao, a relevé que la conjoncture internationale était peu favorable pour le financement de l’action humanitaire en République Centrafricaine. De nouvelles crises surgissent ailleurs dans le monde et retiennent l’attention des bailleurs du fait de leur acuité et de leurs effets sur les populations civiles.
Il a déploré le fait qu’en 2016 le plan de réponse humanitaire d’un montant de 531.5 millions de dollars n’ait été financé qu’à hauteur de 36.2% en décembre 2016.
Un financement adéquat en 2017 permettra d’apporter une assistance alimentaire à 900.000 personnes, a-t-il estimé, expliquant que dans toute crise humanitaire, la sécurité alimentaire occupe le premier poste de dépense et qu'en 2017, 128,5 millions de dollars devraient être dédiés à cette priorité.
Avec les autorités, une campagne de plaidoyer est en cours pour mobiliser davantage les bailleurs autour de l’action humanitaire afin de faire en sorte que la RCA ne soit pas une crise oubliée ou négligée et que le financement soit à la hauteur des besoins, a souligné Michel Yao.
« Dans cette dynamique, une véritable synergie a été développée entre le plan de réponse humanitaire et la stratégie de Relèvement et de Consolidation de la paix en Centrafrique (RCPCA). L’objectif commun est de renforcer la capacité de résistance aux chocs et l’autonomie des communautés afin de passer progressivement de l’humanitaire au redressement », a conclu le Coordonnateur humanitaire par intérim.
Il est à noter que ce plan de réponse humanitaire 2017-2019 est lancé après la conférence des bailleurs de fonds sur la République Centrafricaine, qui s'est tenue à Bruxelles le 17 novembre 2016.