POLITIQUE
Aux termes de cet Arrêté, le litre d'essence passe de 680 à 780 F CFA, le pétrole lampant de 380 à 500 F CFA, le gasoil de 670 à 750 F CFA et le fuel de 410 à 500 F CFA.
Le gouvernement a également rendu publics deux décrets présidentiels instaurant des mesures dites exceptionnelles destinées maîtriser les conséquences de cette hausse des carburants.
Au plan fiscal, le taux de la taxe sur la valeur ajoutée (Tva) est ramené de 19 à 5% pour les denrées de première nécessité et les matériaux de construction. Il s'agit de la farine de froment, du lait, du poisson congelé, de l'huile raffinée, des tôles et du ciment.
Les opérateurs économiques vont également d'une réduction du taux de la retenue d'impôts sur les revenus et de l'impôt sur les sociétés qui passe de 5 à 2%.
Par ailleurs, les prix d'une trentaine de produits de première nécessité seront soumis à une surveillance. Il s'agit d'une vingtaine produits alimentaires, des matériaux de construction et de divers produits tels que savon de ménage, médicaments, articles scolaires et cyclomoteurs.
L'annonce de ces mesures intervient au lendemain d'une adresse à la nation du Premier ministre Faustin Archange Touadéra au sujet des conséquences de la flambée des prix.
M. Touadéra avait alors qualifié d' "inévitable" l'augmentation des prix du carburant, jusqu'ici subventionnés par l'Etat, promettant des mesures d'accompagnement destinées à "soulager la souffrance des ménages les plus démunis".
Le gouvernement a également rendu publics deux décrets présidentiels instaurant des mesures dites exceptionnelles destinées maîtriser les conséquences de cette hausse des carburants.
Au plan fiscal, le taux de la taxe sur la valeur ajoutée (Tva) est ramené de 19 à 5% pour les denrées de première nécessité et les matériaux de construction. Il s'agit de la farine de froment, du lait, du poisson congelé, de l'huile raffinée, des tôles et du ciment.
Les opérateurs économiques vont également d'une réduction du taux de la retenue d'impôts sur les revenus et de l'impôt sur les sociétés qui passe de 5 à 2%.
Par ailleurs, les prix d'une trentaine de produits de première nécessité seront soumis à une surveillance. Il s'agit d'une vingtaine produits alimentaires, des matériaux de construction et de divers produits tels que savon de ménage, médicaments, articles scolaires et cyclomoteurs.
L'annonce de ces mesures intervient au lendemain d'une adresse à la nation du Premier ministre Faustin Archange Touadéra au sujet des conséquences de la flambée des prix.
M. Touadéra avait alors qualifié d' "inévitable" l'augmentation des prix du carburant, jusqu'ici subventionnés par l'Etat, promettant des mesures d'accompagnement destinées à "soulager la souffrance des ménages les plus démunis".
