Le but de cette conférence de presse est de porter à l’attention de l’opinion l’action en justice du collectif des avocats de Meckassoua, pour injure, diffamation, outrage, dénonciation calomnieuse, incitation à la haine, à la violence et à la révolte, atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat, immixtion sans titre dans les fonctions publiques et association de malfaiteurs.
Le collectif des avocats de Abdou Karim Meckassou est composé de Maîtres Albert Panda Gbianimbi, Bruno Gbiégba, Fernand Mandé Ndjapou, Guy Dangavo, Jérôme Lavou, Marie Edith Douzima et Pierre Morel Sangone, croit mettre un terme à une pratique en République Centrafricaine : celle d’éliminer une personne considérée comme étant un adversaire politique. Le collectif s’attend à ce que les choses soient autrement désormais.
Ce collectif a pensé que les faits reprochés à Didacien Kossimatchi sont punis par les articles 131, 132, 133, 134, 135, 140, 145, 292, 289, 290, 295, 408, 411 à 413 du code pénal de la République Centrafricaine.
Didacien Kossimatchi, il faut le préciser, a été nommé directeur des examens et concours. En plus de cela, il s’est présenté comme le porte-parole du Comité de soutien à Faustin-Archange Touadéra.
Il a organisé deux conférences de presse à la mairie du 4ème Arrondissement de Bangui, le premier le 13 juillet 2017 et le second huit jours plus tard.
A ces occasions, Didacien Kossimatchi s’était employé à démontrer que l’actuel Président de l’Assemblée nationale fomenterait la chute de Faustin-Archange Touadéra et qu’en réponse, les habitants de Bangui devraient organiser une marche pour demander sa démission et son arrestation.
Le collectif des avocats de Abdou Karim Meckassou est composé de Maîtres Albert Panda Gbianimbi, Bruno Gbiégba, Fernand Mandé Ndjapou, Guy Dangavo, Jérôme Lavou, Marie Edith Douzima et Pierre Morel Sangone, croit mettre un terme à une pratique en République Centrafricaine : celle d’éliminer une personne considérée comme étant un adversaire politique. Le collectif s’attend à ce que les choses soient autrement désormais.
Ce collectif a pensé que les faits reprochés à Didacien Kossimatchi sont punis par les articles 131, 132, 133, 134, 135, 140, 145, 292, 289, 290, 295, 408, 411 à 413 du code pénal de la République Centrafricaine.
Didacien Kossimatchi, il faut le préciser, a été nommé directeur des examens et concours. En plus de cela, il s’est présenté comme le porte-parole du Comité de soutien à Faustin-Archange Touadéra.
Il a organisé deux conférences de presse à la mairie du 4ème Arrondissement de Bangui, le premier le 13 juillet 2017 et le second huit jours plus tard.
A ces occasions, Didacien Kossimatchi s’était employé à démontrer que l’actuel Président de l’Assemblée nationale fomenterait la chute de Faustin-Archange Touadéra et qu’en réponse, les habitants de Bangui devraient organiser une marche pour demander sa démission et son arrestation.