L’objectif de cette réunion est d’évaluer et projeter l’avenir de la croissance économique et monétaire de la République Centrafricaine.
Au sujet de la construction du siège de la BEAC à Bangui, M. Tahir Guilid a affirmé que le projet qui est en cours est conditionné par la sécurisation du pays, car aucune entreprise ne prendra pas de risque pour investir dans un pays où règne l’insécurité.
Par ailleurs, le ministre des Finances et du Budget, Christophe Mbré-Maïdou, a d’emblée déclaré que la croissance économique de la République Centrafricaine est dans un état de relèvement progressif.
Il a estimé que la sécurisation de la République Centrafricaine permettra aux partenaires au développement de revenir investir.
Justifiant ses propos, le ministre Mbré-Maïdou a rassuré que le gouvernement centrafricain avec l’appui de la Force Multinationale de l’Afrique Centrale (FOMAC) sécurisent le corridor Béléko-Bangui, ce qui à contribuer à une légère hausse des recettes fiscalo-douanières. Car, la fréquence des véhicules en provenance de Béloko est passé de 200 à 700 véhicules et les recettes ont atteint 2 milliards par mois au lieu de 1,5 milliards qu’auparavant.
Il a relevé qu’actuellement la masse salariale se chiffre à 4,5 milliards par mois pour les fonctionnaires et agents de l’Etat, et 1,5 milliards de trimestre pour les pensions des fonctionnaires retraités.
Au sujet de la construction du siège de la BEAC à Bangui, M. Tahir Guilid a affirmé que le projet qui est en cours est conditionné par la sécurisation du pays, car aucune entreprise ne prendra pas de risque pour investir dans un pays où règne l’insécurité.
Par ailleurs, le ministre des Finances et du Budget, Christophe Mbré-Maïdou, a d’emblée déclaré que la croissance économique de la République Centrafricaine est dans un état de relèvement progressif.
Il a estimé que la sécurisation de la République Centrafricaine permettra aux partenaires au développement de revenir investir.
Justifiant ses propos, le ministre Mbré-Maïdou a rassuré que le gouvernement centrafricain avec l’appui de la Force Multinationale de l’Afrique Centrale (FOMAC) sécurisent le corridor Béléko-Bangui, ce qui à contribuer à une légère hausse des recettes fiscalo-douanières. Car, la fréquence des véhicules en provenance de Béloko est passé de 200 à 700 véhicules et les recettes ont atteint 2 milliards par mois au lieu de 1,5 milliards qu’auparavant.
Il a relevé qu’actuellement la masse salariale se chiffre à 4,5 milliards par mois pour les fonctionnaires et agents de l’Etat, et 1,5 milliards de trimestre pour les pensions des fonctionnaires retraités.