"II nous faut trouver des solutions hardies et c'est justement en cela que la proposition de la partie marocaine visant à accorder une large autonomie au Sahara, mais dans le cadre du respect de la souveraineté du Royaume du Maroc, trouve toute sa pertinence et sa sagesse", a affirmé M. Badji devant la 4ème commission de l'Assemblée générale de l'ONU.
Cette proposition, que le Sénégal soutient et endosse, "nous semble réaliste et raisonnable parce qu'elle pourrait permettre aux parties de trouver un dénominateur commun", a-t-il ajouté, appelant au réalisme et au compromis pour maintenir l'élan que le Secrétaire général de l'ONU a imprimé aux négociations.
Le Sénégal a "la claire conscience que seules des négociations sincères et loyales peuvent conduire à un règlement juste et durable de ce dossier qui a connu tant d'impasses successives", a-t-il, en outre, déclaré.
Il a également appelé à la poursuite de "bonne foi des négociations, en tenant compte des efforts réalisés depuis 2006 et des faits nouveaux survenus depuis, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable".
Soulignant que "le statut quo n'est ni viable, ni acceptable", le diplomate sénégalais a, enfin, déploré l'impasse qui "continue, malheureusement, d'empêcher les pays de la sous-région du Maghreb arabe d'avancer vers une intégration plus poussée pour le plus grand bénéfice de leurs peuples et du Continent africain tout entier".
Cette proposition, que le Sénégal soutient et endosse, "nous semble réaliste et raisonnable parce qu'elle pourrait permettre aux parties de trouver un dénominateur commun", a-t-il ajouté, appelant au réalisme et au compromis pour maintenir l'élan que le Secrétaire général de l'ONU a imprimé aux négociations.
Le Sénégal a "la claire conscience que seules des négociations sincères et loyales peuvent conduire à un règlement juste et durable de ce dossier qui a connu tant d'impasses successives", a-t-il, en outre, déclaré.
Il a également appelé à la poursuite de "bonne foi des négociations, en tenant compte des efforts réalisés depuis 2006 et des faits nouveaux survenus depuis, en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable".
Soulignant que "le statut quo n'est ni viable, ni acceptable", le diplomate sénégalais a, enfin, déploré l'impasse qui "continue, malheureusement, d'empêcher les pays de la sous-région du Maghreb arabe d'avancer vers une intégration plus poussée pour le plus grand bénéfice de leurs peuples et du Continent africain tout entier".