Les participants ont également recommandé à l’Etat centrafricain d’établir une liaison entre le département des Mines et l’Université de Bangui en vue de définir des sujets porteurs, de prendre en compte la question genre dans l’évolution des secteurs minier et pétrolier, de passer de l’exploitation artisanale aux groupements d’exploitation de la petite mine et de perpétuer le cadre d’échanges.
Le ministre Félix Moloua a admis que le gouvernement va examiner les recommandations formulées avec la plus grande attention dans l’objectif de mieux préciser la stratégie minière.
« Les secteurs minier et pétrolier contribuent d’une manière notable non seulement à l’accroissement du budget de l’Etat, mais aussi à l’amélioration de la situation économique et sociale des populations, à la création d’emplois et au développement des infrastructures », a exprimé le ministre Moloua.
Le ministre des Mines, Léopold Mboli-Fatrane s’est réjoui de la 1ère édition du SEMICA-Centrafrique 2020 qui est une réussite, tout en soulignant que ce n’est qu’un début.
Le chef du département des Mines a exhorté tous les Centrafricains à soutenir le gouvernement dans cette lancée afin que la République Centrafricaine soit révélée au monde.
Selon lui, « aujourd’hui, le gouvernement a envoyé des étudiants en Chine pour une formation de haut niveau dans les domaines minier et pétrolier, pour que demain, ils puissent prendre en charge les questions pétrolières et celles des mines.
Mboli-Fatrane a émis le vœu d’établir un partenariat entre l’Université de Bangui et son département, au lieu d’envoyer les étudiants à l’extérieur, qu’ils puissent être formés sur place à l’Université de Bangui.
Il convient de rappeler que le SEMICA-Centrafrique 2020 a mobilisé des experts internationaux venus du Nigéria, de l’Afrique du Sud, du Ghana, du Cameroun, du Congo, du Sénégal, de la Côte-d’Ivoire, du Burkina-Faso et du Canada, pour discuter des défis et mettre en évidence les opportunités et les succès remportés dans les industries des mines, des carrières et du pétrole en Centrafrique et en Afrique.
Le ministre Félix Moloua a admis que le gouvernement va examiner les recommandations formulées avec la plus grande attention dans l’objectif de mieux préciser la stratégie minière.
« Les secteurs minier et pétrolier contribuent d’une manière notable non seulement à l’accroissement du budget de l’Etat, mais aussi à l’amélioration de la situation économique et sociale des populations, à la création d’emplois et au développement des infrastructures », a exprimé le ministre Moloua.
Le ministre des Mines, Léopold Mboli-Fatrane s’est réjoui de la 1ère édition du SEMICA-Centrafrique 2020 qui est une réussite, tout en soulignant que ce n’est qu’un début.
Le chef du département des Mines a exhorté tous les Centrafricains à soutenir le gouvernement dans cette lancée afin que la République Centrafricaine soit révélée au monde.
Selon lui, « aujourd’hui, le gouvernement a envoyé des étudiants en Chine pour une formation de haut niveau dans les domaines minier et pétrolier, pour que demain, ils puissent prendre en charge les questions pétrolières et celles des mines.
Mboli-Fatrane a émis le vœu d’établir un partenariat entre l’Université de Bangui et son département, au lieu d’envoyer les étudiants à l’extérieur, qu’ils puissent être formés sur place à l’Université de Bangui.
Il convient de rappeler que le SEMICA-Centrafrique 2020 a mobilisé des experts internationaux venus du Nigéria, de l’Afrique du Sud, du Ghana, du Cameroun, du Congo, du Sénégal, de la Côte-d’Ivoire, du Burkina-Faso et du Canada, pour discuter des défis et mettre en évidence les opportunités et les succès remportés dans les industries des mines, des carrières et du pétrole en Centrafrique et en Afrique.