L’objectif de ce point de presse est d’informer l’opinion nationale et internationale sur la grève des enseignants qui risquent de perturber l’année académique en cours à l’Université de Bangui et dont les premières victimes seraient les étudiants.
Pour étayer ces propos, Norbert Pounaba s’est référé au cas de Jerry Vallet, qui étudie à la Faculté des Sciences. Celui-ci a été blessé dans la jambe par une balle tirée à bout portant par un militaire en faction à la Primature.
Il a souligné que les étudiants sont suffisamment avertis qu’ils ne pouvaient pas être manipulés par le Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur (SYNAES) et même par les politiques. Il a juré que le seul mobile de la revendication des étudiants était « le droit à l’éducation ».
En conséquence, il a invité le gouvernement à prendre toutes les dispositions nécessaires pour à la fois répondre aux revendications des enseignants et apaiser les inquiétudes des étudiants.
Norbert Pounaba a également sommé le rectorat pour qu’il définisse des stratégies visant à juguler les crises qui gangrènent l’Université de Bangui depuis quelques semaines.
Sur le même registre, il a sollicité l’indulgence du SYNAES pour rester ouvert à toutes négociations pour faciliter la reprise des activités académiques sur le campus universitaire.
Il a, en outre, dénoncé la politique de la sourde oreille qui caractérise les autorités de la transition et appelle les nouvelles autorités à la vigilance en vue de déceler les mauvais grains gagnés par les intérêts égoïstes.
Il convient de noter que les revendications des étudiants, à travers l’ANECA et le mémorandum qu’ils étaient tentés d’introduire auprès du Premier ministre, portent, entre autres sur la publication de la liste additive de 700 boursiers au titre de l’année académique 2014-2015 ; le paiement des frais de vacation et heures supplémentaires et subventions des enseignants-chercheurs.
Pour étayer ces propos, Norbert Pounaba s’est référé au cas de Jerry Vallet, qui étudie à la Faculté des Sciences. Celui-ci a été blessé dans la jambe par une balle tirée à bout portant par un militaire en faction à la Primature.
Il a souligné que les étudiants sont suffisamment avertis qu’ils ne pouvaient pas être manipulés par le Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur (SYNAES) et même par les politiques. Il a juré que le seul mobile de la revendication des étudiants était « le droit à l’éducation ».
En conséquence, il a invité le gouvernement à prendre toutes les dispositions nécessaires pour à la fois répondre aux revendications des enseignants et apaiser les inquiétudes des étudiants.
Norbert Pounaba a également sommé le rectorat pour qu’il définisse des stratégies visant à juguler les crises qui gangrènent l’Université de Bangui depuis quelques semaines.
Sur le même registre, il a sollicité l’indulgence du SYNAES pour rester ouvert à toutes négociations pour faciliter la reprise des activités académiques sur le campus universitaire.
Il a, en outre, dénoncé la politique de la sourde oreille qui caractérise les autorités de la transition et appelle les nouvelles autorités à la vigilance en vue de déceler les mauvais grains gagnés par les intérêts égoïstes.
Il convient de noter que les revendications des étudiants, à travers l’ANECA et le mémorandum qu’ils étaient tentés d’introduire auprès du Premier ministre, portent, entre autres sur la publication de la liste additive de 700 boursiers au titre de l’année académique 2014-2015 ; le paiement des frais de vacation et heures supplémentaires et subventions des enseignants-chercheurs.