L’objectif recherché de ces rencontres consiste à recueillir les avis, les recommandations, et les suggestions sur les résultats engagés du dialogue républicain tant souhaité.
Le chef de l’Etat a rappelé que dans son discours adressé à la nation le 18 janvier 2021, à la suite de la proclamation des résultats définitifs de l’élection présidentielle du 27 décembre 2020 et également à l’occasion de la célébration du 2ème anniversaire de l’accord politique pour la paix et la réconciliation le 6 février 2021, qu’il a réaffirmé sa disponibilité a engagé un dialogue républicain avec l’opposition démocratique et toutes les forces vives de la nation, pour sortir la RCA de la crise.
Selon lui, l’APPR-RCA, qu’il considère comme l’accord de la dernière chance, rejoint d’autres engagements, afin de sortir le pays de nombreuses crises politico-militaires.
Il déclare accorder une large place à une concertation régulière, entre autre à la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation, le gouvernement et les responsables des 14 groupes armés, signé le 6 février 2019 à Bangui.
Le Président de la République estime que le dialogue républicain ne sera pas un dialogue de plus et qu’à la suite des différentes consultations qu’il aura avec chaque partie prenante, identifier ensemble les points n’ayant pas trouvé de réponses dans les précédents engagements nationaux.
« Les combattants de nationalité centrafricaine devront obligatoirement passés par le désarmement et procéder à la dissolution de leur groupe sous le contrôle du comité exécutif de suivi de la mise en œuvre de l’accord », a martelé Faustin Archange Touadéra.
Il a déclaré qu’il prendra part régulièrement pendant les 10 jours de cette concertation, afin de recueillir les contributions pertinentes pour enrichir les outils de paix, de sécurité, de réconciliation nationale et du développement existant.
Il convient de noter que cette concertation de 10 jours se déroulera à Bangui avec toutes les personnes ressources et entités concernées.
Le chef de l’Etat a rappelé que dans son discours adressé à la nation le 18 janvier 2021, à la suite de la proclamation des résultats définitifs de l’élection présidentielle du 27 décembre 2020 et également à l’occasion de la célébration du 2ème anniversaire de l’accord politique pour la paix et la réconciliation le 6 février 2021, qu’il a réaffirmé sa disponibilité a engagé un dialogue républicain avec l’opposition démocratique et toutes les forces vives de la nation, pour sortir la RCA de la crise.
Selon lui, l’APPR-RCA, qu’il considère comme l’accord de la dernière chance, rejoint d’autres engagements, afin de sortir le pays de nombreuses crises politico-militaires.
Il déclare accorder une large place à une concertation régulière, entre autre à la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation, le gouvernement et les responsables des 14 groupes armés, signé le 6 février 2019 à Bangui.
Le Président de la République estime que le dialogue républicain ne sera pas un dialogue de plus et qu’à la suite des différentes consultations qu’il aura avec chaque partie prenante, identifier ensemble les points n’ayant pas trouvé de réponses dans les précédents engagements nationaux.
« Les combattants de nationalité centrafricaine devront obligatoirement passés par le désarmement et procéder à la dissolution de leur groupe sous le contrôle du comité exécutif de suivi de la mise en œuvre de l’accord », a martelé Faustin Archange Touadéra.
Il a déclaré qu’il prendra part régulièrement pendant les 10 jours de cette concertation, afin de recueillir les contributions pertinentes pour enrichir les outils de paix, de sécurité, de réconciliation nationale et du développement existant.
Il convient de noter que cette concertation de 10 jours se déroulera à Bangui avec toutes les personnes ressources et entités concernées.