POLITIQUE
Le Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Protection Sociale, Jean-Christophe Nguinza, a expliqué que face à la montée galopante du chômage dans le pays, il avait été très tôt sensibilisé sur la situation générale de la formation professionnelle et de l’apprentissage et avoir compris que le problème du chômage qui se pose avec acuité en RCA est étroitement lié à la qualité de la formation professionnelle qui ne cadre plus avec les attentes du monde économique.
C’est pour la première fois dans l’histoire de notre pays que l’ACFPE va s’associer aux unités économiques et aux centres de formation pour mettre en place des dispositifs de formation professionnelle, en vue de permettre aux jeunes centrafricains déscolarisés d'apprendre un métier et s'insérer socialement, a relevé le directeur général de l’Agence centrafricaine pour la formation professionnelle et l’emploi (ACFPE), Jean-Pierre Douzima.
Il a indiqué que le recrutement des jeunes déscolarisés et désœuvrés à Bangui, Bimbo et Bégoua a démontré l'engouement des jeunes pour ce projet.
Il a souligné que les 10 métiers retenus pour cette phase pré-pilote sont coiffeur homme, coiffeuse femme et soins de la peau, bijoutier, sérigraphe-peinture, couturier H/F, mécanicien, entretien automobile, électricien, réparateur de groupe électrogène, réparateur de motocyclette, soudeur à l'arc et menuisier.
Selon lui, l'apprentissage par les compétences et par alternance signifie que les formations vont se dérouler dans des centres de formation pour ce qui est de la théorie et dans les entreprises pour la pratique.
Jean-Pierre Douzima a émis le voeu que d'ici 2010, délai imparti au projet, l'ACFPE forme 2.000 jeunes désœuvrés et déscolarisés.
Enfin, il a adressé ses vifs remerciement à l'Agence française de développement (AFD) pour les appuis qu'elle ne cesse d'apporter à l'ACFPE depuis le démarrage de ses activités en 2002.
C’est pour la première fois dans l’histoire de notre pays que l’ACFPE va s’associer aux unités économiques et aux centres de formation pour mettre en place des dispositifs de formation professionnelle, en vue de permettre aux jeunes centrafricains déscolarisés d'apprendre un métier et s'insérer socialement, a relevé le directeur général de l’Agence centrafricaine pour la formation professionnelle et l’emploi (ACFPE), Jean-Pierre Douzima.
Il a indiqué que le recrutement des jeunes déscolarisés et désœuvrés à Bangui, Bimbo et Bégoua a démontré l'engouement des jeunes pour ce projet.
Il a souligné que les 10 métiers retenus pour cette phase pré-pilote sont coiffeur homme, coiffeuse femme et soins de la peau, bijoutier, sérigraphe-peinture, couturier H/F, mécanicien, entretien automobile, électricien, réparateur de groupe électrogène, réparateur de motocyclette, soudeur à l'arc et menuisier.
Selon lui, l'apprentissage par les compétences et par alternance signifie que les formations vont se dérouler dans des centres de formation pour ce qui est de la théorie et dans les entreprises pour la pratique.
Jean-Pierre Douzima a émis le voeu que d'ici 2010, délai imparti au projet, l'ACFPE forme 2.000 jeunes désœuvrés et déscolarisés.
Enfin, il a adressé ses vifs remerciement à l'Agence française de développement (AFD) pour les appuis qu'elle ne cesse d'apporter à l'ACFPE depuis le démarrage de ses activités en 2002.
