L’objectif de la première session ordinaire du Comité national de pilotage de l’ITIE-RCA est de définir les orientations politiques et stratégiques de l’initiative et intégrer les préoccupations tant des populations que des partenaires dans la formulation de la politique nationale de la gouvernance des ressources naturelles.
Le Premier ministre Sarandji s’est, à cette occasion, réjoui de ce que les membres du comité de pilotage aient posé les diagnostics de la relance des activités ITIE en République Centrafricaine, en se focalisant surtout sur l’état des lieux de cette relance et l’examen du plan d’action actualisé destiné à sa mise en valeur.
Il a estimé que la relance des activités ITIE dans le pays serait de nature à « redynamiser le secteur extractif et forestier.
Pour amener les membres du Comité de pilotage de l’ITIE-RCA à mieux traiter des questions qui leurs seront soumises, en rapport avec les nouvelles normes de l’initiative, le Chef du gouvernement a recommandé le renforcement des capacités de ces membres dans un meilleur délai.
Ces nouvelles normes de l’initiative comprennent l’amélioration des cadres juridique et institutionnelle des secteurs concernés en République Centrafricaine, à savoir les secteurs extractif, forestier et celui des hydrocarbures.
Le Premier ministre Simplice Mathieu Sarandji a profité de la circonstance pour instruire le Ministre secrétaire permanent de l’ITIE-RCA, Robert Moïdokana, de tout mettre en œuvre pour que l’ITIE retrouve ses lettres de noblesse dans le pays.
Dans le souci d’instaurer la bonne gouvernance dans le domaine extractif, le gouvernement de la République Centrafricaine s’est engagé dans le processus d’adhésion à l’initiative. Ainsi, le pays a accédé au statut de pays candidat en 2008 puis pays conforme en 2011, et immédiatement récompensé d’un trophée ITIE.
Le respect des exigences ITIE a permis à la République Centrafricaine d’être récompensée par un trophée ITIE en 2011 et l’admission du pays au conseil d’administration de l’ITIE International en 2012. Seulement, tout le travail abattu s’est effondré comme un château de cartes avec le changement politique de 2013.
Les membres constituant le comité national de pilotage proviennent des départements ministériels concernés par le processus, les organisations de la société civile, les opérateurs des secteurs minier, forestier et pétrolier.
Le Premier ministre Sarandji s’est, à cette occasion, réjoui de ce que les membres du comité de pilotage aient posé les diagnostics de la relance des activités ITIE en République Centrafricaine, en se focalisant surtout sur l’état des lieux de cette relance et l’examen du plan d’action actualisé destiné à sa mise en valeur.
Il a estimé que la relance des activités ITIE dans le pays serait de nature à « redynamiser le secteur extractif et forestier.
Pour amener les membres du Comité de pilotage de l’ITIE-RCA à mieux traiter des questions qui leurs seront soumises, en rapport avec les nouvelles normes de l’initiative, le Chef du gouvernement a recommandé le renforcement des capacités de ces membres dans un meilleur délai.
Ces nouvelles normes de l’initiative comprennent l’amélioration des cadres juridique et institutionnelle des secteurs concernés en République Centrafricaine, à savoir les secteurs extractif, forestier et celui des hydrocarbures.
Le Premier ministre Simplice Mathieu Sarandji a profité de la circonstance pour instruire le Ministre secrétaire permanent de l’ITIE-RCA, Robert Moïdokana, de tout mettre en œuvre pour que l’ITIE retrouve ses lettres de noblesse dans le pays.
Dans le souci d’instaurer la bonne gouvernance dans le domaine extractif, le gouvernement de la République Centrafricaine s’est engagé dans le processus d’adhésion à l’initiative. Ainsi, le pays a accédé au statut de pays candidat en 2008 puis pays conforme en 2011, et immédiatement récompensé d’un trophée ITIE.
Le respect des exigences ITIE a permis à la République Centrafricaine d’être récompensée par un trophée ITIE en 2011 et l’admission du pays au conseil d’administration de l’ITIE International en 2012. Seulement, tout le travail abattu s’est effondré comme un château de cartes avec le changement politique de 2013.
Les membres constituant le comité national de pilotage proviennent des départements ministériels concernés par le processus, les organisations de la société civile, les opérateurs des secteurs minier, forestier et pétrolier.